Examples of using "Reads" in a sentence and their french translations:
Elle lit.
Il lit beaucoup.
Tom lit lentement.
Elle ne lit jamais.
Elle lit le chinois.
Ça se lit bien.
La femme lit.
Tom lit le français.
Il lit le français.
Il ne lit jamais.
Il apprend l'arabe.
Il lit beaucoup.
- Il lit énormément.
- Il lit beaucoup.
Il lit beaucoup.
Il lit avant de dormir.
Voici l'appel à casting :
Il lit un livre.
Tom lit le journal.
Il lit le journal.
La fille lit facilement.
Il lit avant de dormir.
Elle ne lit que de la prose.
La femme lit l'anglais.
Il lit beaucoup.
Tom lit parfois sur son lit.
De temps en temps, il lit des romans policiers.
Tom lit beaucoup de livres.
Il lit le journal tous les matins.
- Chaque matin elle lit le journal.
- Elle lit un journal tous les matins.
Elle lit le journal chaque matin.
Mayuko lit beaucoup.
Lire au sujet de mon pays, personne ne le fait.
La bonne garde le lit.
Elle lit beaucoup.
De temps en temps, il lit des romans policiers.
Le thermomètre affiche 10 degrés.
Personne ne lit mon journal électronique.
Quiconque lit ceci, est idiot.
Je sais qu'il lit.
Qui écrit lit deux fois.
Tom lit à sa fille.
Tom lit.
Tom lit souvent au lit.
La fille lit avec son grand-père.
Il lit le journal tous les matins.
Tom lit le New York Times.
Cela semble être un conte de fées.
Mon mari lit toujours au lit.
Elle lit le journal chaque matin.
Il lit mieux que moi.
Il lit un roman par jour.
Elle lit un journal tous les matins.
Tom lit habituellement seulement les titres.
Chaque semaine il lit vingt livres.
Personne lit dans la bibliothèque.
Tom lit beaucoup de livres.
Le pape a lu son message de Noël.
Chaque matin elle lit le journal.
Elle lit avant de dormir.
- Il lit un livre.
- Il est en train de lire un livre.
Il lit rarement, sinon jamais.
Il lit souvent jusque tard dans la nuit.
Mon père lit le journal tous les matins.
Il lit beaucoup de science-fiction.
Il lit.
Tom ne lit pas entièrement les livres.
Le libraire lit beaucoup de livres.
Tom porte habituellement des lunettes quand il lit.
Quand on lit ses phrases on entend son accent.
Un homme d'affaires qui lit Business Week est perdu pour la gloire. Celui qui lit Proust est destinés au meilleur.