Examples of using "Print" in a sentence and their french translations:
Aide-moi à imprimer ça.
J'imprime 100 pages.
L'ouvrage est épuisé.
Les journaux n'ont pas imprimé cette histoire.
Ce livre n'est plus disponible.
ils pourraient même imprimer des journaux pour les femmes
J'ai vu l'empreinte du chagrin qui était restée gravée sur son visage.
As-tu lu tous les petits caractères?
Le labo m'a proposé d'imprimer mon noyau caudé en 3D.
empreinte d'un doigt ou d'une paume,
Où les utilisateurs doivent-ils imprimer leur test corona?
Cette machine arrive à imprimer 60 pages par minute.
Peux-tu imprimer ce document pour moi ?
Cette page n'est pas bien imprimée, alors recommence.
L'éditeur n'arrêtait pas de me dire : « On va le réimprimer. »
et une partie d'un T-shirt avec un imprimé Mickey Mouse,
Les spécialistes vont maintenant décortiquer les détails du contrat.
L'imprimante dans le bureau de Peter est cassée et n'imprime plus.
Femme d'affaires le jour, Natasja mène une vie nocturne trop scandaleuse pour être publiée.
S'il vous plaît penser à l'environnement - Avez-vous vraiment besoin d'imprimer ce courriel?
et nous avons aussi réussi à imprimer en 3D ces moteurs de fusées.
et aujourd'hui, il est possible d'imprimer environ un moteur toutes les 24 heures.
Puisqu'il peut lire d'aussi petits caractères, il n'est pas myope.
Cette estampe de Daumier est la plus belle chose que j'ai achetée comme souvenir de Paris.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.