Examples of using "Limbs" in a sentence and their french translations:
Et je fais germer des membres, des feuilles
On peut perdre un membre à cause de ça.
Tom a ligoté les membres de Mary avec du ruban adhésif.
Plus il avance, plus ses jambes sont lourdes,
Tous deux avaient leur pantalon ouvert et montraient leurs membres. Incroyable!
Il courut aussi vite que ses membres lui permettaient.
Les gens ayant des membres amputés continuent à les sentir comme s'ils étaient encore là.
Les enfants d'Adam sont membres d'un seul corps, et sont tous issus de la même essence.
Et chacun, l'imitant, / du fruit de ses exploits se revêt à l'instant.
Vénus sourit, et cueillant des pavots / verse à son cher Ascagne un paisible repos, / le berce dans ses bras, l'enlève, et le dépose / sur la verte Idalie, où le myrte, où la rose / d'une haleine odorante exhalant les vapeurs, / l'environnent d'ombrage et le couvrent de fleurs.
Tout fuit épouvanté. Le couple monstrueux / marche droit au grand prêtre ; et leurs corps tortueux / d'abord vers ses deux fils en orbe se déploie, / dans un cercle écaillé saisit sa faible proie, / l'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc / d'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang.
Là volent sur le bord imploré si longtemps / les Troyens, du naufrage encor tout dégouttants. / La rive les reçoit ; son tutélaire ombrage / accueille les vaisseaux échappés à l'orage; / et le nocher étend, au bord des flots amers, / ses membres pénétrés du sel piquant des mers.
L'olympe cependant, dans son immense tour, / a ramené la nuit triomphante du jour ; / déjà, du fond des mers jetant ses vapeurs sombres / avec ses noirs habits et ses muettes ombres, / elle embrasse le monde ; et ses lugubres mains / d'un grand voile ont couvert les travaux des humains, / et la terre, et le ciel, et les Grecs, et leur trame. / Un silence profond règne au loin dans Pergame : / tout dort.
Le rivage des mers nous invite au repos. / Des travaux aux rameurs le sort fait le partage ; / et les autres, couchés sur l'aride rivage, / dorment au bruit de l'onde, et jusqu'au jour naissant / goûtent d'un doux sommeil le charme assoupissant.
Puis il dit à la marée montante : « Il vous appartient de vous soumettre à moi, car les terres sur lesquelles je trône m'appartiennent et personne n'a résisté impunément à ma souveraineté. Par conséquent, je vous ordonne de ne pas avancer sur mes terres et de ne pas oser mouiller les vêtements ou les membres de votre maître. »
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
Énée, à cet aspect, frissonne d'épouvante. / Levant au ciel ses yeux et sa voix suppliante : / " Heureux, trois fois heureux, ô vous qui, sous nos tours, / aux yeux de vos parents, terminâtes vos jours ! "