Examples of using "Macht" in a sentence and their french translations:
- La raison du plus fort est toujours la meilleure.
- La force prime le droit.
Le pouvoir corrompt.
L'union fait la force.
- Le savoir est une force.
- Le savoir c'est le pouvoir.
- La connaissance est la puissance.
La raison du plus fort est toujours la meilleure.
L'argent, c'est le pouvoir.
La langue, c'est le pouvoir.
Je n'ai aucun pouvoir. »
- Ne sous-estime pas ma puissance.
- Ne sous-estime pas l'étendue de mon pouvoir.
Le pouvoir et l'argent sont inséparables.
- Le roi a abusé de son pouvoir.
- Le roi abusa de son pouvoir.
La troisième puissance de 3 est 27.
Qui a la volonté a la force.
un rappel constant de son pouvoir inimaginable.
Je crois que les êtres humains ont le pouvoir
Ne sous-estime pas l'étendue de mon pouvoir.
Nous avons tous du pouvoir et de l'influence,
- La force dans l'unité.
- La force est dans l'unité.
En réalité, seul le pouvoir les intéresse.
Et il est très simple d'abuser de ce pouvoir.
et pour dire leur vérité aux puissants ?
nous pouvons placer la nature en leur cœur.
Nous avons le pouvoir de faire la différence dans nos vies,
En tant que républicain, Augereau s'est d'abord opposé à la prise du pouvoir politique par Napoléon,
L'un des pouvoirs de l'Ōmukade est sa morsure venimeuse
La plume est plus forte que l'épée.
Malgré une supposition flatteuse du contraire, les gens s'accommodent facilement du pouvoir. Il y a peu de raisons de penser que le pouvoir des grands banquiers, alors qu'on les soupçonnait de l'avoir, était très mal vu. Mais comme en témoigneront les fantômes de nombreux tyrans, de Jules César à Benito Mussolini, les gens se montreront impitoyables envers ceux qui, ayant eu le pouvoir, l'ont perdu ou ont fini dans la déchéance. Puis à la colère contre l'arrogance passée s'ajoute le mépris de la faiblesse présente. La victime ou son cadavre subit toutes les indignités possibles.
Il y a aujourd’hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les parisiens s’éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte de la Cité, de l’Université et de la Ville.
Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié; que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !
Commençons par le capitalisme, un mot largement démodé. On se réfère désormais au système de marché. Ce changement minimise - voire supprime - le rôle de la richesse dans le système économique et social. Et il se débarrasse de la connotation négative qui remonte à Marx. Au lieu des propriétaires du capital ou de leurs préposés au pouvoir, nous avons le rôle admirablement impersonnel des forces du marché. Il serait difficile d'imaginer un changement de terminologie plus dans l'intérêt de ceux à qui l'argent confère du pouvoir.
Au nom du Président brésilien, Louis Ignace Lula da Silva, Claude Soarez Rocha a exprimé son admiration pour l'effort soutenu que les espérantophones du monde entier font continûment, pour la plus grande diffusion de l'espéranto. Il a écrit, entre autres choses : « Nous savons que dans l'histoire de l'humanité, il y a eu des langues qui se sont imposées par l'opération du pouvoir politique, tel que le latin, ou dans une certaine mesure, le français et récemment, l'anglais. Nous souhaitons ardemment, en vérité, qu'un jour l'espéranto soit accepté par la majorité des nations en tant que langue adoptée afin de faciliter la communication sans privilèges linguistiques. »