Examples of using "Palacio" in a sentence and their french translations:
Le palais était fortement gardé.
Elle me conduisit au palais.
Le palace a une grande tour.
Ces ruines furent autrefois un somptueux palais.
Où est le Palais des Beaux-Arts ?
Comparée à notre maison, la vôtre est un palais.
La famille royale habite dans le palais impérial.
Le roi était célèbre pour son splendide palais.
Le palais royal fut érigé sur une colline.
Il fut un temps où le roi vivait dans ce palais.
Ce palais fut construit pour le riche roi.
Comparée à notre maison, la sienne est un palace.
C'est dans ce palais qu'habitent le roi et la reine.
La Cour Suprême se trouve près du Palais Impérial.
Comparée à notre maison, la vôtre est un palais.
Le roi et sa famille vivent au palais royal.
La route de l’excès mène au palais de la sagesse.
Le Salon d’Argent se trouve à l’arrière du palais, à l’est
Je dois témoigner au Tribunal demain.
Il y a une garde vingt-quatre heures sur vingt-quatre au palais impérial de Tokyo.
Ce palais est l'attraction la plus célèbre et la plus appréciée de notre ville.
C'est dans ce palais qu'habitent le roi et la reine.
mère servit au palais comme femme de chambre du futur Louis XVIII; son père
L'ancien palais de la veuve se dresse toujours à côté du grand château.
Tout vient à point à qui sait attendre.
Jamais, au grand jamais, Godzilla ne détruira le Palais Impérial ni les panneaux d'affichage des entreprises sponsors.
Un chat boiteux a plus de valeur qu'un cheval rapide si le palais est plein de souris.
De retour dans son palais, tout en s'occupant de l'administration de l'empire, des nouvelles lui parvinrent au sujet
Davout et Lefebvre sont les seuls maréchaux à l'attendre au palais des Tuileries.
L'année suivante, la victoire de Wellington à Salamanque contraint Soult à abandonner son palais de Séville
défendant le palais des Tuileries, lorsqu'il fut pris d'assaut par la foule le 10 août 1792.
De toute façon, je suis ici, dans le Palais du Gouvernement, et je resterai ici pour défendre le Gouvernement que je représente par la volonté du peuple.
Mais je la veux ! il me la faut ! j’en meurs ! A l’idée de l’étreindre dans mes bras, une fureur de joie m’emporte, et cependant je la hais, Spendius ! je voudrais la battre ! Que faire ? J’ai envie de me vendre pour devenir son esclave. Tu l’as été, toi ! Tu pouvais l’apercevoir : parle-moi d’elle ! Toutes les nuits, n’est-ce pas, elle monte sur la terrasse de son palais ? Ah ! les pierres doivent frémir sous ses sandales et les étoiles se pencher pour la voir ! »