Translation of "Soube" in French

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Examples of using "Soube" in a sentence and their french translations:

Como você soube dela?

- Comment as-tu appris son existence ?
- Comment avez-vous appris son existence ?

Como você soube disso?

- De quelle manière le saviez-vous ?
- De quelle manière le savais-tu ?
- De quelle manière l'avez-vous su ?
- De quelle manière l'as-tu appris ?

Tom nunca soube daquilo.

Thomas ne l'a jamais su.

Ninguém soube o porquê.

Personne ne savait pourquoi.

Nunca soube de nada.

Je n'ai jamais rien su.

De quem você soube isso?

- De qui l'as-tu appris ?
- Par qui l'as-tu appris ?
- De qui l'avez-vous appris ?
- Par qui l'avez-vous appris ?

Eu soube o que aconteceu.

J'ai entendu ce qu'il s'est passé.

Como soube que era eu?

- Comment as-tu su que c'était moi ?
- Comment avez-vous su que c'était moi ?

Quando você soube do fato?

Quand avez-vous appris les faits ?

Soube que você se casou.

J'ai entendu dire que tu t'es marié.

Não o soube de forma alguma.

- Je ne l'ai appris en aucune manière.
- En aucune manière je ne l'ai appris.

Eu soube disso desde o princípio.

Je le savais depuis le début.

Soube que comprou um carro novo.

- J'ai entendu dire que tu avais une nouvelle voiture.
- J'ai entendu dire que vous aviez une nouvelle voiture.

- Eu sabia demais.
- Eu soube demais.

J'en savais trop.

Eu soube antes de você saber.

- J'ai su avant toi.
- J'ai su avant vous.

Eu soube que você tem namorado.

- Je savais que tu avais un petit-copain !
- Je savais que tu avais un petit-ami !
- Je savais que vous aviez un petit-copain !
- Je savais que vous aviez un petit-ami !

Como você soube que ela estava doente?

Comment as-tu su qu'elle était malade ?

Eu nunca soube o seu verdadeiro nome.

Je n'ai jamais su son vrai nom.

Eu soube imediatamente que tu eras um favorito.

J'ai su tout de suite que tu étais un préféré.

Ninguém nunca soube a verdadeira história, exceto nós três.

Personne n'a jamais su la véritable histoire à part nous trois.

- Eu não soube disso.
- Eu não tomei conhecimento disso.

Je n'en étais pas au courant.

- Nunca mais soube dela.
- Nunca mais ouvi falar dela.

Je n'ai jamais plus entendu parler d'elle.

- Nunca mais soube deles.
- Nunca mais ouvi falar deles.

Je n'ai jamais plus entendu parler d'eux.

Fiquei decepcionado quando soube que vocês não podiam vir.

J'ai été déçu quand j'ai appris que vous ne pouviez pas venir.

Ela começou a chorar, de repente, quando soube da notícia.

Elle fondit en larmes quand elle entendit les nouvelles.

- Eu sabia que era você.
- Eu soube que era você.

Je savais que c'était toi.

Desde que soube que existe a universidade, quero ir para lá.

Dès que j'ai eu connaissance de l'existence de l'université, j'ai voulu y aller.

- Eu soube que nos casaríamos a partir do momento em que te conheci.
- Eu soube que nos casaríamos a partir do momento em que a conheci.
- Eu soube que nos casaríamos a partir do momento em que o conheci.

- Je savais que nous allions nous marier au moment où je t'ai rencontré.
- Je savais que nous allions nous marier au moment où je t'ai rencontrée.
- Je savais que nous allions nous marier au moment où je vous ai rencontré.
- Je savais que nous allions nous marier au moment où je vous ai rencontrée.
- Je savais que nous allions nous marier au moment où je vous ai rencontrées.

- Eu não soube o que dizer.
- Eu não sabia o que dizer.

Je ne savais pas bien quoi dire.

A partir do momento que eu soube que a universidade existia, eu quis ir para lá.

Depuis que je sais que l'université existe, je veux y aller.

Foi até eu ter um bebê eu mesma que eu soube o que o amor de mãe é.

Ce n'était que quand j'ai moi-même eu un bébé que j'ai su ce que l'amour maternel représente.

- Jane pulou as questões que não soube responder.
- Jane pulou as perguntas que não pôde responder.
- Jane pulou as perguntas que não conseguiu responder.

Jane a sauté les questions auxquelles elle ne savait pas répondre.

Não sei que infausto nume então me faz / tremer e perder todo o entendimento, / pois enquanto a correr busco estreitas travessas, / desviando-me das ruas principais, / pobre de mim, Creúsa, minha esposa, / desaparece: eu nunca soube se detida / por fatal ocorrência, por cansaço, / ou por se ter perdido no caminho.

À ces mots, qui doublent mes alarmes, / je ne sais quel délire égara mes esprits ; / mais, tandis qu'éperdu, tremblant d'être surpris, / aux lieux les moins frayés je confiais ma fuite, / ma chère épouse, hélas ! que je crois à ma suite... / Sort cruel ! est-ce toi qui nous en séparas ? / Le chemin, trop pénible, arrêta-t-il ses pas ? / Ou dans ces noirs sentiers s'est-elle enfin perdue ? / Je ne sais.

"Se é desejo do céu que nada reste / de tão nobre cidade e se persistes / no intento de somar aos escombros de Troia / os teus restos mortais e a nossa ruína, / o caminho está aberto: que entre a morte. / Lá do lugar que ele cobriu do sangue / régio de Príamo, não tarda a vir / esse Pirro que soube assassinar / diante do pai um filho, e o pai ante os altares."

" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "

O valente Épito e Ripeu vêm-me ao encontro / (eu os reconheço à claridade do luar) / e Dimas e Hípanis, que correm a juntar-se / ao nosso grupo, além do filho de Migdon, / Corebo, o jovem que chegara havia pouco / a Troia, ardendo da paixão mais louca / por Cassandra e, bom genro, a Príamo trazendo / (e, é claro, aos frígios) sua ajuda militar. / O coitado não soube dar ouvidos / aos vaticínios da inspirada noiva.

Aux clartés de la lune accourent sur mes pas, / et le sage Rhipée et le vaillant Dymas, / Hypanis qu'enflammait une ardente jeunesse, / Iphite encor bouillant en sa mâle vieillesse, / et le jeune Corèbe enfin, qui, dans ce jour, / pour Cassandre brûlant d'un trop funeste amour, / venait briguer sa main dans le champs de la gloire, / hélas ! et comme nous refusa de la croire.

"Porém não soube, insano, silenciar / e jurei que se a sorte eu tivesse algum dia / de vitorioso retornar à minha pátria, / Palamedes teria um vingador; / e do ódio os aguilhões contra mim se excitaram. / Foi esta a causa principal de minha ruína: / Ulisses começou então a me aterrar / com mil e uma acusações; não se passava / um só dia sem que ele divulgasse / entre as tropas boatos maliciosos / a meu respeito e procurasse descobrir / armas que contra mim pudesse usar. / Só sossegou depois que por obra de Calcas…"

" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "