Examples of using "Ouvidos" in a sentence and their french translations:
ont été entendus.
Les murs ont des oreilles.
Je suis tout ouïe.
J'étais tout ouïe.
Les murs ont des oreilles.
Les murs ont des oreilles.
Tom est tout ouïe.
Tom a bouché ses oreilles.
Ventre affamé n'a point d'oreilles.
Arrête de me crier dans l'oreille.
La musique flatte les oreilles.
Même les murs ont des oreilles.
Ne l'écoute pas.
Le juge a besoin de ses deux oreilles.
Je ne l'écouterai plus jamais.
Je ne peux en croire mes oreilles.
« Tu veux savoir comment il a fait ? » « Je suis tout ouïe. »
Je ne pouvais pas en croire mes oreilles !
Mon oreille bourdonne.
Les fourmis ont-elles des oreilles ?
En tant qu'Américain, cette phrase ne me semble pas naturelle.
Nous étions tout ouïes lorsqu'il a commencé à nous conter son secret.
Les yeux ne croient qu'en eux-mêmes, les oreilles croient les autres gens.
- Raconte-moi, je suis tout ouïe.
- Dis-moi, je suis tout ouïe.
Il l'accuse souvent de ne jamais écouter ce qu'il dit.
Fais attention à ce que tu dis, Andrea; les murs ont des oreilles.
La musique n'est pas une langue. Mais certaines langues sont de la musique à mes oreilles.
Elle faisait la sourde oreille.
- «Es-tu sûre de vouloir que je te le dise ?» «Je suis toute ouïe !»
- «Es-tu sûr de vouloir que je te le dise ?» «Je suis tout ouïe !»
- Personne ne voulait m'écouter.
- Personne ne m'écouterait.
Un diffamateur a le Diable sur la langue et, celui qui l'écoute, l'a dans les oreilles.
- Ne lui prêtez pas attention.
- Ne lui prête pas attention.
- Ignorez-la.
- Ignore-la.
Je n'ai qu'une bouche, mais j'ai deux oreilles.
J'ignore pourquoi tu l'écoutes.
Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre.
David a un vif intérêt pour l'esthétique - les qualités qui rendent une peinture, une sculpture, une composition musicale ou un poème agréable à l'œil, à l'oreille ou à l'esprit.
" Au sortir d'Ilion, notre antique séjour, / (peut-être d'Ilion vous savez l'infortune) / traînant de mers en mers une vie importune, / enfin l'onde en courroux m'a jeté dans ces lieux. "
Là, d'incroyables bruits, jusqu'à nous parvenus, / étonnent notre oreille : on nous dit qu'Hélénus, / enfant du dernier roi de la triste Pergame, / possède de Pyrrhus et le sceptre et la femme ; / qu'il commande à des Grecs, et qu'un dernier lien / met la veuve d'Hector dans les bras d'un Troyen.
- J'ignore pourquoi tu l'écoutes.
- J'ignore pourquoi vous l'écoutez.
Et déjà sur la tombe appuyant mes genoux, / lutant contre la terre, et redoublant de force, / d'un troisième arbrisseau ma main pressait l'écorce, / quand du fond du tombeau ( j'en tremble encor d'effroi ! ) / une voix lamentable arrive jusqu'à moi :
" Palamède... A ce nom ma douleur se réveille, / et quelquefois, sans doute, il frappa votre oreille ; / cent fois la renommée a redit ses exploits... / seul contre cette guerre il éleva la voix ; / faussement accusé d'une trame secrète, / il périt, et la Grèce aujourd'hui le regrette. "
Aux clartés de la lune accourent sur mes pas, / et le sage Rhipée et le vaillant Dymas, / Hypanis qu'enflammait une ardente jeunesse, / Iphite encor bouillant en sa mâle vieillesse, / et le jeune Corèbe enfin, qui, dans ce jour, / pour Cassandre brûlant d'un trop funeste amour, / venait briguer sa main dans le champs de la gloire, / hélas ! et comme nous refusa de la croire.