Examples of using "Mortal" in a sentence and their french translations:
Silencieux, mortel et invisible.
La chair est mortelle.
L'homme est mortel.
C'est un poison mortel !
- L'être humain est-il mortel?
- Est-ce que l'homme est mortel?
Tom est notre ennemi juré.
Les dieux ont décrété que l'homme est mortel.
Le corps meurt, mais l'âme est immortelle.
C'est une machine à tuer d'environ 140 kg. Il ne m'a pas vu.
Et l'araignée-chameau dominera-t-elle l'aigle, aussi dangereux que gracieux ?
Et peu après, un requin attrape un de ses bras et tournoie de façon terrifiante.
Selon des modérateurs tatillons, les non-phrases constituent un danger mortel pour Tatoeba.
" Si Troie avait pu l'être, Hector l'aurait sauvée : / je combattis Achille, et me soumis aux dieux. "
Chaque nuit, les ruelles de Mumbai sont le théâtre d'un jeu mortel du chat et de la souris.
En ces moments affreux, / qui n'implorai-je point des hommes et des dieux ! / Non, Ilion en feu, non, cette nuit terrible, / pour ce cœur déchiré n'eut rien de plus horrible.
" Viens, je vais dissiper les nuages obscurs / dont sur tes yeux mortels la vapeur répandue / cache ce grand spectacle à ta débile vue. / Écoute seulement, et, docile à ma voix, / d'une mère qui t'aime exécute les lois. "
Là, fuyait désarmé le malheureux Troïle, / faible enfant dont l'audace osa braver Achille ; / à son char suspendu, les rênes à la main, / il emporte le dard enfoncé dans son sein ; / d'un long sillon de sang le trait marque la plaine, / et son front tout poudreux est traîné sur l'arène.
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "