Examples of using "Morava" in a sentence and their french translations:
Tom vivait dans une ferme.
Il habitait en Espagne, je pense.
Ma grand-mère vivait avec nous.
La petite fille habitait au Brésil.
Elle habitait près de lui.
Je vivais là seule.
Tom habitait à Boston.
J'ai demandé où elle habitait.
Ma grand-mère vivait avec nous.
Elle m'a demandé où j'habitais.
Il vécut seul à la campagne.
- Je vivais près d'un parc.
- J'habitais près d'un parc.
Tom me demanda où j'habitais.
Où avez-vous vécu ?
Maria habitait avec Tom à cette époque.
Dan vivait dans un bel appartement.
- Elle lui demanda où il vivait.
- Elle lui a demandé où il vivait.
quand je vivais à Las Vegas.
quand je vivais à Las Vegas.
Je vivais à Boston il y a quelques années.
Tom a dit que vous viviez à Boston.
Pourquoi vivait-il aux USA ?
Tom savait où Marie habitait.
Il vivait là seul.
J'ai loué un appartement quand je vivais à Boston.
L'année dernière je vivais à Sanda City.
- Il me demanda où vivait mon oncle.
- Il m'a demandé où vivait mon oncle.
J'ai souvent visité le musée lorsque je résidais à Kyoto.
Et le mec qui vivait là l'a enregistré et était comme
Quand j'habitais aux États-Unis, je jouais au golf avec mes amis.
- Elle le suivit chez lui pour voir où il vivait.
- Elle le suivit chez lui pour déterminer où il vivait.
- Elle l'a suivi chez lui pour voir où il vivait.
- Elle l'a suivi chez lui pour déterminer où il vivait.
Il lui a demandé où elle vivait.
Bell a vécu à Londres, n'est-ce pas ?
Beaucoup de gens y vivaient.
Quel était ton lieu de résidence ?
- Lorsque j'étais très petit, nous habitions dans une maison à Utsunomiya, à une centaine de kilomètres au nord de Tokyo.
- Quand j'étais tout petit, nous vivions dans une maison à Utsunomiya, à environ une centaine de kilomètres au nord de Tokyo.
Il emmena tout son troupeau et tous les biens qu’il possédait, le troupeau qui lui appartenait, qu’il avait acquis à Paddan Aram ; et il s’en alla vers Isaac, son père, au pays de Canaan.
De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...