Examples of using "Corpos" in a sentence and their french translations:
La nourriture est un carburant pour le corps.
L'astronomie est la science des corps célestes.
entre cellules, tissus, organes et corps XX et XY.
Les corps ont été trouvés décapités et écorchés.
Deux corps ne peuvent pas occuper la même place dans l'espace.
Le deuxième type est celui des chauves-souris à gros corps et se nourrissant de fruits.
Sauf Vöggr, qui est traîné hors d'un tas de corps.
Not every French corps broke through at Krasny.
Je vous salue, ô toutes les âmes fidèles, dont les corps ici et partout reposent dans le sol.
" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "
On était au moment où Morphée à nos cœurs / verse d'un calme heureux les premières douceurs.
Il y a de grandes planètes, comme Jupiter et Mars. Et il y a aussi de très nombreux petits corps célestes, qui ne reçoivent qu'un nombre par leur nom.
Mais leur plume défend ces oiseaux de la mer : / leur troupe, impénétrable aux atteintes du fer, / part, et laisse, en fuyant dans sa retraite obscure, / les mets demi-rongés, et son odeur impure.
Le cou dressé, levant une crête sanglante, / de leur tête orgueilleuse ils dominent les eaux ; / le reste au loin se traîne en immenses anneaux.
Le rivage des mers nous invite au repos. / Des travaux aux rameurs le sort fait le partage ; / et les autres, couchés sur l'aride rivage, / dorment au bruit de l'onde, et jusqu'au jour naissant / goûtent d'un doux sommeil le charme assoupissant.
" À peine on a connu la sentence effrayante, / dans le camp consterné tout frémit d'épouvante. / Quel est le malheureux que l'on doit immoler ? / Qui demande Apollon ? et quel sang doit couler ? "
Je cherche autour de moi si quelque ami me reste : / tous ont péri... Poussés d'un désespoir funeste, / tous de nos toits brûlants se sont précipités.
Chaque jour a son deuil ; l'animal expirant / perd la douce lumière, ou traîne un corps mourant : / plus d'épis pour l'été, plus de fruits pour l'automne, / et sur ces bords affreux la mort seule moissonne.
Tout fuit épouvanté. Le couple monstrueux / marche droit au grand prêtre ; et leurs corps tortueux / d'abord vers ses deux fils en orbe se déploie, / dans un cercle écaillé saisit sa faible proie, / l'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc / d'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang.
Le père accourt : tous deux à son tour le saisissent, / d'épouvantables nœuds tout entier l'investissent ; / deux fois par le milieu leurs plis l'ont embrassé, / par deux fois sur son cou leur corps s'est enlacé ; / ils redoublent leurs nœuds, et leur tête hideuse / dépasse encor son front de sa crête orgueilleuse.
Là volent sur le bord imploré si longtemps / les Troyens, du naufrage encor tout dégouttants. / La rive les reçoit ; son tutélaire ombrage / accueille les vaisseaux échappés à l'orage; / et le nocher étend, au bord des flots amers, / ses membres pénétrés du sel piquant des mers.
Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "