Translation of "Cabeleira" in French

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Examples of using "Cabeleira" in a sentence and their french translations:

Ordener deteve-se, contemplando aquelas antigas florestas druídicas que recobrem qual uma cabeleira as margens acidentadas do lago.

Ordener s’arrêta, contemplant ces vieilles forêts druidiques qui couvrent les rivages montueux du lac comme une chevelure.

Eis agora o bardo Iopas, / de longa cabeleira, antigo aluno de Atlas, / o gigante, a tocar dourada lira.

Iopas prend alors sa harpe enchanteresse : / chantre inspiré du ciel, il commence, et sa voix / répète ce qu'Atlas enseignait autrefois.

Já da casa de Príamo a princesa / Cassandra, desde o santuário, era arrastada / para fora do templo de Minerva, / a cabeleira em desalinho, aos céus em vão / erguendo os olhos plenos de ira e de aflição: / os olhos, pois as mãos finas estavam / atadas.

O douleur ! de nos rois la fille vénérable, / cette vierge sacrée, et si chère à Pallas, / Cassandre échevelée, et par de vils soldats / traînée indignement du fond du sanctuaire, / levait au ciel ses yeux enflammés de colère ; / ses yeux... Des fers, hélas ! chargeaient ses faibles mains.

Noutro quadro está Troilo, pobre moço, / vencido em desigual combate por Aquiles: / deixadas para trás as armas e caído / de costas no seu carro, ainda segura as rédeas, / sem guiar os ginetes apressados; / e, pendente, a cerviz e a cabeleira / tem arrastadas pela estrada enquanto a ponta / da mortal lança vai riscando a terra.

Là, fuyait désarmé le malheureux Troïle, / faible enfant dont l'audace osa braver Achille ; / à son char suspendu, les rênes à la main, / il emporte le dard enfoncé dans son sein ; / d'un long sillon de sang le trait marque la plaine, / et son front tout poudreux est traîné sur l'arène.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.