Examples of using "Eis" in a sentence and their french translations:
- C'est le garçon.
- Voici le garçon.
Voilà Tokyo.
Voici l'homme.
Voilà le hic.
Voici un livre.
Voilà une question idiote.
Voici une grande enseigne.
Voici mon cœur.
Ça commence bien !
- C'est un gros projet.
- Il s'agit d'un gros projet.
Voilà quelques raisons.
Voilà mon équipe.
Voici tes lettres.
Eh bien, voici la chose,
Me voici.
Voici l'homme à tout faire !
Voilà qui me plaît !
Voici une situation sans issue.
Voici un de mes tableaux.
Voilà ce qui me préoccupe.
- Voilà Tatoeba.
- Voici Tatoeba.
Voici le Japon.
Voici, la plupart d'entre nous jurent
- On y est.
- Nous y voici.
- Nous y voilà !
Boire ou ne pas boire - telle est la question.
Être ou ne pas être, telle est la question.
- C'est un livre.
- Ceci est un livre.
La question la voici.
Voici un os pour le chien.
Voici des os pour les chiens.
- Nous voilà !
- Nous voici !
- Nous y voilà !
C'est un des élèves de mon père.
Voilà mon adresse électronique.
- Voilà, ta phrase est désormais léguée à la postérité !
- Voilà, ta phrase est désormais confiée à la postérité !
Voici, ils sont aussi riches que Karun
Voici de l'argent pour poursuivre votre voyage.
Voici mon cœur.
Nous sommes en train de manger et voilà que sonne le téléphone.
Voici un restaurant, dans lequel je mange souvent.
C'est pourquoi je suis venu en retard.
C'est la raison pour laquelle je suis arrivé tard.
Voici ton chien. Où est le mien ?
Mais voilà un animal foncièrement asocial qui joue avec des poissons.
La question, c'est ce que nous devrions faire ensuite.
- Voici une photo d'elle.
- Voilà une photo d'elle.
S'il est permis de faire les présentations: Voici Monsieur Forestier.
Voici que le nuage s'est dissout en une pluie bienfaisante.
Voici mon passeport.
C'est pourquoi je ne me marie pas.
- Si tu veux avoir PR, alors voici la chose.
Il y a ici deux hommes. L'un est stupide, et l'autre c'est moi.
C'est pour cela que certains vétérans n'ont jamais voulu parler de la guerre.
Voilà pourquoi la phrase est une énigme à mes yeux.
Espérer le meilleur et se préparer au pire : c'est la règle.
C'est la clé que je cherchais.
Ce fut un plaisir de vous rencontrer, M. et Mme. Thompson. Voici ma carte.
Voici notre réponse à votre fax daté du 1er avril.
- C'est pourquoi je me fie à toi.
- C'est pourquoi je me fie à vous.
C'est la raison pour laquelle elle est en retard.
Voici ton chien. Où est le mien ?
Iopas prend alors sa harpe enchanteresse : / chantre inspiré du ciel, il commence, et sa voix / répète ce qu'Atlas enseignait autrefois.
Voici la clé avec laquelle il a ouvert la porte.
C'est la clé que je cherchais.
Voici ton chien. Où est le mien ?
" Mais vous, si je vous sers, ô généreux Troyens ! / si je sauve vos jours, qu'on épargne les miens ! "
Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, / à travers mille dards, un dernier fils du roi / s'échappe, et du palais dépeuplé par l'effroi / traverse tout sanglant la longue galerie.
Laban dit à Jacob : "Tu vois ce monceau, tu vois ce monument que j’ai posé entre nous deux ; soit témoin ce monceau, soit témoin cette pierre, que je ne dépasserai point de ton côté ce monceau, que tu ne dépasseras point de mon côté ce monceau ni cette pierre, dans des vues mauvaises.
Voici le brouillon du manuscrit, mais il faut encore corriger les fautes.
Tandis que, plein d'amour, d'horreur et de pitié, / je vole sur les pas de ma chère moitié, / un spectre s'offre à moi : quelle surprise extrême ! / C'était elle, c'était ma Créuse elle-même, / plus grande que jamais ne la virent mes yeux.
Alors, de toutes parts, s’offre un confus amas / d’armes et d’avirons, de voiles et de mâts, / les débris d’Ilion, son antique opulence, / et quelques malheureux sur un abîme immense.
Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
" Tel du sort à mes yeux le livre se déploie : / va, pars, et porte au ciel les grands destins de Troie. "
Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "
Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.
Voilà pourquoi : ce qui est permis est permis, ce qui est interdit est interdit, ce qui est impossible est impossible, et ce qui est possible est permis.
Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.
Déjà d'un doux repos je savourais les charmes, / quand je crus voir Hector, les yeux noyés de larmes, / pâle, et tel qu'autrefois sur la terre étendu, / au char d'un fier vainqueur tristement suspendu, / hélas ! et sous les tours de Troie épouvantée / il marquait de son front l'arène ensanglantée.
Tandis que dans le temple, empressé de tout voir, / en attendant la reine, il admire en silence / la pompe de ces lieux et leur magnificence, / il voit représentés tous ces fameux revers, / ces combats dont le bruit a rempli l'univers, / ce fier Agamemnon, ce Priam si sensible, / et ce fils de Pélée à tous les deux terrible.
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
Voici le pacte que vous observerez, qui est entre moi et vous, jusqu’à ta dernière postérité : circoncire tout mâle d’entre vous. Vous retrancherez la chair de votre excroissance, et ce sera un symbole d’alliance entre moi et vous.
Lorsqu'on aime, on ne raisonne pas. Lorsqu'on raisonne, il semble qu'on n'aime pas. Lorsqu'on raisonne après avoir aimé, on comprend pourquoi l'on aimait. Lorsqu'on aime après avoir raisonné, on aime mieux. Voilà la marche du progrès des âmes.
"Enfin, je ne veux rien perdre de votre gloire : / reprenez de plus haut cette importante histoire ; / contez-moi d'Ilion les terribles assauts, / et les pièges des Grecs, et leurs mille vaisseaux, / et vos longues erreurs sur la terre et sur l'onde ; / car le soleil sept fois a fait le tour du monde, / depuis que, poursuivi par un sort odieux, / votre noble infortune a fatigué les dieux. "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
Et l’ange de Dieu me dit en songe : Jacob ! Je répondis : Me voici ! Il dit : Lève les yeux, et regarde : tous les boucs qui couvrent les brebis sont rayés, tachetés et marquetés ; car j’ai vu tout ce que te fait Laban.
" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "
" Bientôt s'allume entr'eux le flambeau de la haine. / Insatiable d'or, ce monstre furieux, / sans égard pour sa sœur, sans respect pour les dieux, / dans le temple en secret immole sa victime ; / et toutefois longtemps il sut cacher son crime, / et, d'une sœur crédule amusant la douleur, / longtemps d'un faux espoir il entretint son cœur. "
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
" La nuit tombe ; et déjà les célestes flambeaux, / penchant vers leur déclin, invitent au repos. / Mais, si de nos malheurs vous exigez l'histoire, / s'il faut en rappeler l'affligeante mémoire, / quoiqu'au seul souvenir de ces scènes d'horreur / mon cœur épouvanté recule de terreur, / j'obéis. "