Examples of using "Céus" in a sentence and their french translations:
Ciel !
- Oh bon sang.
- Les étoiles étincellent dans le ciel.
- Les étoiles brillent au firmament.
Plusieurs étoiles brillaient dans le ciel.
Je n'aime pas les cieux gris.
- Notre père qui es aux cieux.
- Notre Père, qui es aux cieux.
Les ascenseurs dans les gratte-ciel sont des systèmes vitaux.
- Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
- Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre.
Remerciez le ciel de ne pas avoir été dessous.
Les cieux réservent leur lot de magie. Les électrons du Soleil frappent la Terre.
Les immeubles sont petits comparés aux gratte-ciel de New York.
Heureux ceux qui ont une âme de pauvre, car le Royaume des Cieux est à eux.
- Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
- Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre.
" Le fourbe, chez les Grecs instruit dans l'art de feindre, / levant au ciel ses bras remis en liberté : "
Il dit. L'orage affreux qu'anime encor Borée / siffle et frappe la voile à grand bruit déchirée.
" De deux infortunés daignez plaindre le sort ! / Un orage cruel nous jeta sur ce bord. "
" Tel du sort à mes yeux le livre se déploie : / va, pars, et porte au ciel les grands destins de Troie. "
Aussitôt, appelant Eurus et le Zéphyre, / " Eh quoi ! sans mon aveu, quoi ! dans mon propre empire, / d'une race rebelle enfants audacieux, / vents, vous osez troubler et la terre et les cieux ! "
O douleur ! de nos rois la fille vénérable, / cette vierge sacrée, et si chère à Pallas, / Cassandre échevelée, et par de vils soldats / traînée indignement du fond du sanctuaire, / levait au ciel ses yeux enflammés de colère ; / ses yeux... Des fers, hélas ! chargeaient ses faibles mains.
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.