Examples of using "Alegria" in a sentence and their french translations:
Quelle joie !
J'ai sauté de joie.
Elle dansa avec joie.
Je suis fou de joie.
Ta joie est visible.
Ses yeux brillaient de joie.
Ses yeux brillaient de joie.
Buvons et chantons gaiement !
Son sourire exprimait la joie.
Nul plaisir sans peine.
Elle éclate presque de joie.
Il était tellement plein de joie.
La joie était dessinée sur son visage.
Ses yeux brillaient de joie.
J'ai sauté de joie lorsque j'ai entendu les nouvelles.
On était contents. On s'est dit : "Tiens, la voilà."
Toute la classe explosa de joie.
L'allégresse du cœur s'augmente à la répandre.
L'enfant se mit à rire de joie en se roulant par terre.
J'aime mon corps profondément et avec joie.
Son plaisir était tel, qu'elle se mit à danser.
Tu es ma fierté et ma joie.
Je dormais et je rêvais que la vie n'était que joie. Je m'éveillais et je vis que la vie n'était que service. Je servis et je compris que le service était joie.
Elle éprouve peut-être même une joie quelconque.
Mon cœur était rempli de joie.
Je m'y fie avec joie, c'est véritablement louable...
La joie est la pierre philosophale, qui transforme tout ce qu'elle touche en or.
À l’annonce de la naissance de son premier enfant, il sauta de joie.
Jamais nous ne goûtons de parfaite allégresse : nos plus heureux succès sont mêlés de tristesse.
La poésie naît de la douleur. La joie est une fin en soi.
Le fils sage réjouit son père, le fils sot chagrine sa mère.
C'est une grande joie de voir ses propres phrases traduites dans une multitude d'autres langues.
Elle pleura de joie lorsqu'elle apprit que son fils avait survécu à l'écrasement de l'avion.
Joie, belle étincelle des dieux, fille de l’Élysée, nous entrons l’âme enivrée dans ton temple glorieux.
Alors que le ciel sourit à ses oiseaux, mon héritage est ténèbres. Jamais aucune joie ne s'est montrée en ma vie.
La joie, tous les êtres en boivent aux seins de la nature; tous les bons, tous les méchants, suivent sa trace de rose.
" Viens, Junon ! viens Bacchus, source aimable de joie ! / et vous, ô Tyriens, joignez-vous à mes vœux ! "
Sur son visage, je vis un joyeux sourire.
Il s'approche, il observe : ô comble de la joie ! / Ce sont ses compagnons que le ciel lui renvoie : / c'était Sergeste, Anthée, échappés du trépas. / Il brûle de courir, de voler dans leurs bras ; / mais la crainte retient sa vive impatience.
Elle était vêtue d’une robe blanche comme le jour de notre union, et portait encore dans ses cheveux la couronne de fleurs d’oranger, dernière parure virginale de la jeune épouse, que mes mains n’avaient pas détachée de son front. Elle m’aperçut, me reconnut, jeta un cri et tomba dans mes bras mourante de joie et de surprise. J’étais éperdu.
Un vieil homme conta à son petit-fils : « Mon garçon, en nous tous a lieu une bataille entre deux loups. L'un est malfaisant. Il n'est que colère, jalousie, avidité, ressentiment, infériorité, mensonge et amour-propre. L'autre, lui, est bon. Il est joie, paix, amour, espérance, humilité, gentillesse, empathie et vérité. » Le garçon songea puis demanda : « Grand-père, lequel des deux loups triomphe ? » Et le vieil homme doucement de répondre : « Celui que tu nourris. »
" Et toi, pour cette nuit, quittant tes traits divins, / enfant ainsi que lui, prends ses traits enfantins ; / et lorsque, dans le feu d'une fête brillante, / qu'échauffera du vin la vapeur enivrante, / Didon va t'imprimer des baisers pleins d'ardeur, / mon fils, glisse en secret ton poison dans son cœur. "