Examples of using "Véleményem" in a sentence and their french translations:
J'ai un avis.
C'est mon opinion.
À mon avis, il a raison.
J'ai une autre idée.
Ce n'est pas mon opinion.
Je n'ai pas d'opinion sur la question.
- Mon opinion diffère de la vôtre.
- Mon opinion diffère de la tienne.
- Ce n'est pas mon opinion.
- Ce n'est pas mon point de vue.
Ce n'est que mon opinion.
Mon opinion diffère de la vôtre.
C'est mon opinion personnelle.
- Mon opinion est différente de la tienne.
- Mon opinion se distingue de la tienne.
- Je ne suis pas du même avis que toi.
- Mon opinion est différente de la vôtre.
- Mon opinion diffère de la vôtre.
- Mon opinion diffère de la tienne.
- Mon avis diffère du tien.
- Je ne suis pas d'accord.
- Je suis en désaccord.
- Je m'inscris en faux.
- Je ne suis pas de cet avis.
Selon moi, Twitter est une perte de temps.
Je ne changerai jamais d'avis.
J'ai une opinion différente sur le sujet.
- Je ne suis pas du même avis que toi.
- Mon opinion diffère de la vôtre.
- Mon idée est différente de la vôtre.
- Je ne suis pas du même avis que toi.
- Mon opinion est différente de la tienne.
- Mon opinion diffère de la tienne.
- Je suis d'un autre avis que toi.
- Je suis d'une opinion différente de la tienne.
- J'ai une opinion différente de la tienne.
- Mon avis diffère du tien.
- Mon opinion se distingue de la tienne.
Je pense que Tom a complètement raison.
- À mon avis, tu te trompes.
- À mon avis, vous avez tort.
À mon avis, il a raison.
Selon moi, le PDG répond aux consommateurs.
Je pense que cette machine a besoin d'être réparée.
Mon opinion est tout à fait différente de la tienne.
Dans mon esprit, c'est cela, le leadership :
Personnellement, je pense que cela ne fait aucune différence, quiconque gagne l'élection.
Je pense qu'il y a quelque chose qui cloche.
- Excuse-moi si je te traite de trou-du-cul mais c'est ce que je pense que tu es.
- Excusez-moi si je vous traite de trou-du-cul mais c'est ce que je pense que vous êtes.
Je pense que vous avez eu le temps de lire le titre.
Mon opinion est la même que la tienne.
Aujourd'hui je suis d'un autre avis.
- Je suis d'un autre avis que toi.
- Je suis d'une opinion différente de la tienne.
- J'ai une opinion différente de la tienne.
Personnellement, je pense que cela ne fait aucune différence, quiconque gagne l'élection.
Je pense que c'est quelque part dans les alentours.
À mon avis, il y a une grande différence entre le parler et l'écrit en Turquie.
Je pense autrement.
- Je pense qu'il est hautement improbable que tu sois en mesure de faire ça tout seul.
- Je pense qu'il est hautement improbable que vous soyez en mesure de faire ça tout seul.
- Je ne suis pas d'accord.
- Je ne suis pas de cet avis.
Je ne le pousserais pas à bout. Tu ne sais pas ce qu'il pourrait faire. À mon avis, on n'est jamais trop prudent. On dit même qu'une souris à l'agonie mordrait un chat si elle n'avait pas le choix.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.