Examples of using "órán" in a sentence and their french translations:
Tu as passé environ 30 minutes
Je serai de retour d'ici une heure.
Il va revenir sous trois heures.
- Il s'est endormi durant le cours.
- Il s'est endormi en cours.
- Je me suis endormi en cours hier.
- Je me suis endormie en classe hier.
Tiens-toi tranquille pendant le cours.
Je serai de retour dans deux heures.
J'ai dormi pendant 9 heures.
Elle m'a fait attendre une demi-heure.
- Nous parlons anglais en classe.
- On parle anglais en cours.
Elle l'a attendu deux heures.
- Je lui ai parlé pendant une heure.
- Je lui ai parlé une heure durant.
Tom prend tout le temps des notes en cours.
- Revenez dans une heure !
- Reviens dans une heure !
Je savais que si dans une heure,
Le film a duré 2 heures.
Il arrivera avant une heure.
Dans deux heures le soleil se couchera.
généralement dans les 2 jours suivant sa naissance
Il lui est impossible de finir ça en une heure.
J'ai attendu une heure et demie.
Il a étudié pendant deux heures.
Mon vol part dans moins d'une heure.
Elle s'est endormie en cours.
Tom attendit dehors sous la pluie battante pendant plus d'une heure.
- Je t'appelle dans une heure.
- Je t'appellerai dans une heure.
Je l'ai attendu pendant une heure.
Il a passé toute l'heure debout près de la fenêtre.
Il arrivera avant une heure.
Il est impossible qu'un enfant qui grandit reste en place pendant une heure.
- Elle m'a fait attendre une demi-heure.
- Elle m'a laissé attendre une demi-heure.
Une panne d'électricité a duré quatre heures.
Le concert dura à peu près trois heures.
J'ai attendu le bus sous la neige pendant deux heures.
Ça a pris une demi-heure.
M. Jones m'a réprimandé pour avoir piqué un petit somme en classe.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.