Examples of using "Wüssten" in a sentence and their french translations:
Je pensais que tout le monde savait.
Je pensais que tout le monde savait.
J'aimerais qu'on sache, maître
Ah les cons, s'ils savaient !
savaient comment le vieux sanglier est mort.
Comme s'ils savaient qu'ils devraient avoir peur
Si les hommes savaient tout ce que les femmes pensent, ils seraient mille fois plus audacieux.
Et si l'on connaissait le prix des soins médicaux par avance ?
Le cochon grognerait s'ils savaient comment le vieux sanglier est mort.
Nous ne sommes pas si jeunes que nous ne sachions pas ce qu'est l'amour.
Nous pensons tous savoir, et nous pensons tous que chacun sait,
Si l'on savait ce que l'on faisait, ça ne s'appellerait pas de la recherche, non ?
Si vous saviez quelle femme charmante j’ai rencontré à Yalta !
Tom et Marie pensent tout savoir.
Si vous saviez combien les soirées près de Moscou me sont chères !
Il pensait que Ragnar disait: «Si mes fils étaient au courant, ils viendraient me sauver.
Vous pensez sûrement que vous savez comment faire ça, mais laissez-moi l'expliquer encore une fois.
Je prétends que si tous les gens savaient ce qu'ils disent les uns des autres, il n'y aurait pas dans le monde quatre amis.
- Ne fais pas comme si tu ne savais pas de quoi je parlais.
- Ne faites pas comme si vous ne saviez pas de quoi je parlais.
- Ne fais pas comme si tu ne savais pas danser !
- Ne faites pas comme si vous ne saviez pas danser !
« Oh, Tom ! Pourquoi devons-nous impérativement être un couple dans la vie ? Nous le sommes sur scène et c'est suffisant ! » « Si tes admirateurs savaient qui tu étais vraiment ! »
Vous pensez sûrement que vous savez comment faire ça, mais laissez-moi l'expliquer encore une fois.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.