Translation of "Pères" in Spanish

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Examples of using "Pères" in a sentence and their spanish translations:

Les pères de l'anatomie --

Lo cierto es que los padres de la anatomía,

Bonne fête des pères !

¡Feliz día de los Padres!

Ces mères, pères, fils, filles

Estas madres y padres e hijos e hijas

Demain c'est la fête des pères.

Mañana es el día del padre.

- Les fils souffrent par la faute des pères.
- C'est par la faute des pères que souffrent les fils.

Los hijos sufren por los errores de los padres.

Et dont les pères disaient à leurs fils :

y los padres dirían a sus hijos,

Combien de Pères Noël y a-t-il ?

¿Cuántos Santa Claus hay?

Et je dis « pères » car ce n'étaient que des hommes --

y digo "padres" porque, seamos claros, todos eran hombres...

On appelle demi-frères et sœurs, deux enfants qui ont la même mère mais des pères différents.

Llamamos hermanastros a dos niños que tienen la misma madre pero distinto padre.

Et quand le premier musulman américain a été récemment élu au Congrès, il a prêté serment de défendre notre constitution en utilisant le même Coran sacré que l'un de nos pères fondateurs - Thomas Jefferson - conservait dans sa bibliothèque personnelle.

Y cuando el primer musulmán-estadounidense fue recientemente elegido para el Congreso, hizo el juramento de defender nuestra Constitución usando el mismo Corán que uno de nuestros padres fundadores - Thomas Jefferson - guardaba en su biblioteca personal.

Il y a des mères et des pères qui resteront éveillés dans leur lit après que les enfants se seront endormis, en se demandant comment ils paieront l'hypothèque ou les factures du médecin, ou comment ils pourront mettre assez d'argent de côté pour les études universitaires de leur enfant.

Hay madres y padres que se quedan despiertos después de que sus hijos se hayan dormido y se preguntan cómo conseguir pagar la hipoteca o las facturas del médico, o cómo ahorrar el suficiente dinero para la educación universitaria de sus hijos.

Il est étonnant de constater que les Iraniens, auxquels les Arabes ont imposé l'Islam en les battant militairement, sont devenus ses plus zélés adeptes au point d'opprimer ceux du Zoroastrisme, qui est pourtant la religion de leurs propres pères. Une sorte de syndrome de Stockholm à l'échelle nationale.

Es sorprendente atestiguar que los iraníes, sobre quienes los árabes impusieron el Islam a través de la derrota militar, se han convertido en sus seguidores más fervientes, hasta el punto de oprimir a aquellos del zoroastrismo, a pesar de ser la religión de sus propios padres. Es una especie de síndrome de Estocolmo a escala nacional.