Translation of "Port" in Portuguese

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Examples of using "Port" in a sentence and their portuguese translations:

Le bateau est au port.

O navio está no porto.

Notre bateau approchait du port.

Nosso barco se aproximou do porto.

Où se trouve le port ?

- Onde fica o porto?
- Onde é que fica o porto?

Le bateau est maintenant au port.

O navio está agora no porto.

Et célébré par le personnel du port

e comemorado pelo pessoal do porto

Le bateau se dirige vers le port.

O barco dirige-se ao porto.

Le navire a jeté l'ancre dans le port.

- O navio ancorou no porto.
- O navio lançou a âncora no porto.

Il y a beaucoup de bateaux dans le port.

Há muitos navios no porto.

Le vieux port ne suffit plus aux navires modernes.

O porto velho já não é suficiente para navios modernos.

D'anciennes tribus croyaient que le port de la corne éloignerait les ennemis.

Tribos acreditavam que usar o chifre de rinoceronte afastava os inimigos.

Selon la loi, la discrimination, la vie ou le port d'un drap de lit est interdit.

De acordo com a lei, a discriminação, a vida ou o uso de lençóis são proibidos.

- Le règlement de l'école prévoit le port d'un uniforme par les élèves.
- Les règles de l'école exigent que les élèves portent des uniformes scolaires.
- Le règlement scolaire exige le port d'un uniforme par les élèves.

As regras da escola exigem que os alunos usem uniformes escolares.

Le bateau est en sécurité dans le port. Mais ce n'est pas pour cela que les bateaux ont été construits.

Um navio no porto está seguro, mas não é para isso que os navios são construídos.

De Leucate bientôt les sommets nuageux, / et du port d'Apollon les écueils orageux, / chers, malgré leurs dangers, de loin nous apparaissent.

Do Leucates o cume se descobre, / por entre as nuvens, e de Apolo surge o templo, / no promontório que é terror dos navegantes.

Vous venez de gagner un prix de 5000 dollars dans un concours de l'État de Californie sur le port correct de la ceinture de sécurité.

Você acaba de ganhar um prêmio de 5000 dólares em um concurso do Estado da Califórnia por portar corretamente o cinto de segurança.

Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.

E só se satisfaz quando, em triunfo, / lança por terra sete enormes cervos, / igualando-os em número aos navios. / Retorna ao porto e a caça então reparte / com os companheiros todos.

Ensuite, prenant le large pour se garantir des écueils de Scylla et de Carybde, il relâche à un port de Sicile situé près du mont Etna.

Então, fazendo-se ao largo para se proteger dos escolhos de Cila e Caribde, ele arriba a um porto siciliano perto do Monte Etna.

La flotte double plusieurs des caps de la Sicile, et aborde enfin à Drépane, ville et port de cet endroit de l'île où régnait Aceste, prince troyen.

A frota contorna vários dos cabos da Sicília, e finalmente chega a Drépano, cidade portuária localizada na parte da ilha onde reinava Acestes, príncipe troiano.

Il dit. Un air plus frais favorise nos vœux. / On entrevoit le port ; et, voisin de la nue, / le temple de Pallas se découvre à la vue.

Intensificam-se as bem-vindas brisas; / estreita-se a distância e já se alarga / de um porto a entrada, enquanto vai crescendo / no promontório o templo de Minerva.

Dans un golfe enfoncé, sur de sauvages bords, / s'ouvre un port naturel, défendu par une île, / dont les bras étendus, brisant l'onde indocile, / au fond de ce bassin, par deux accès divers, / ouvrent un long passage aux flots bruyants des mers.

Num lugar retirado existe uma baía, / em cuja barra ilha oportuna quebra / com seus flancos a força do mar alto, / bom porto oferecendo em duas enseadas.

Mais déjà dans le port, par ses soins bienfaisants, / les Troyens ont reçu de superbes présents, / de cent noirs sangliers les hures menaçantes, / et cent agneaux suivis de leurs mères bêlantes, / et vingt taureaux choisis, et la douce liqueur / qui de leurs longs chagrins va consoler leur cœur.

Nem se esquece daqueles que ficaram / na praia: vinte touros lhes envia, / cem porcos grandes e cevados, cem roliços / cordeiros, cem ovelhas, para gáudio / de todos nesse dia de festejo.

Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.

De ambos os lados, vasta é a penedia / e contra o céu projetam-se dois cumes, / ao pé dos quais, por longo espaço, as águas / proporcionam seguro e calmo abrigo. / No alto, um cenário de árvores frondosas / batidas pelo vento, um bosque espesso / que para baixo estende escura sombra.

" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "

"Estão voltando a salvo à terra e brincam, / ruflando vivamente as asas, e, formando / um círculo no céu, cantam vitória. / Assim mesmo teus barcos e teus bravos / companheiros o porto já alcançaram / ou à barra a todo o pano estão chegando".

" Une île, Ténédos est son antique nom, / s'élève au sein des mers, à l'aspect d'Ilion. / Avant nos longs malheurs, qui sont tombés sur elle, / son port fut florissant ; mais sa rade infidèle / n'offre plus qu'un abri peu propice au nocher. / Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. "

"Do litoral de Troia se avistava / Tênedos, ilha que ficou famosa / e prosperou sob o troiano cetro / (hoje não passa de inseguro ancoradouro); / os gregos para lá se transferiram, / na retirada costa se escondendo."

Dès qu'on put se fier à l'humide élément, / sitôt que de l'Auster l'heureux frémissement / promit à notre course une mer sans naufrage, / nos vaisseaux reposés s'élancent du rivage : / on part, on vole au gré d'un vent rapide et doux ; / et la ville et le port sont déjà loin de nous.

Assim que vemos condições de velejar, / quando o murmúrio do austro brando sobre as ondas / tranquilas ao mar alto nos convida, / por toda a praia as naus à água lançamos. / Então zarpamos barra afora, enquanto campos / e cidades recuam lentamente...

Elle dit : à ces mots, / elle quitte son fils ; mais aux yeux du héros / elle offre, en détournant sa tête éblouissante, / d'un cou semé de lis la beauté ravissante : / de ses cheveux divins les parfums précieux / semblent, en s'exhalant, retourner vers les cieux : / sa robe en plis flottants jusqu'à ses pieds s'abaisse ; / elle marche, et son port révèle une déesse. "

Diz e se volta, a refulgir o róseo colo / e as imortais madeixas a espargir / a divina fragrância da ambrosia; / deixa cair a barra do vestido / até os pés e ao dar um passo se revela: / era mesmo, sem dúvida, uma deusa.

Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.

Ao abrigo dos ventos, amplo e calmo / é o porto, porém perto com terríveis / erupções o Etna atroa: ora expelindo / para o alto borbotões de fumegantes nuvens / de negro piche e cinza incandescente, / ou flâmeos globos que às estrelas sobem, / ora as pétreas entranhas da montanha, / com violência arrancadas, disparando, / e vomitando a lava estuante que no peito / do vulcão geme e à boca surge em rubras ondas.

On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.

Colhem-se as velas e se aproa à costa. / Tendo a forma dum arco recortado / no litoral a leste, o ancoradouro / é defendido à entrada por penedos / escarpados que estendem mar adentro / dois altos braços, contra os quais a salsa espuma / se arremessa; da praia está a fugir o templo.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”