Translation of "Autels" in English

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Examples of using "Autels" in a sentence and their english translations:

Kyoto est connu pour ses autels et ses temples.

Kyoto is famous for its shrines and temples.

Alors dans son palais elle conduit Énée, / et célèbre aux autels cette grande journée.

So to the palace she escorts her guest, / and calls for festal honours in the shrine.

Mes mains les destinaient aux autels de mes dieux, / lorsqu'un soudain prodige est offert à mes yeux.

Thither I drew, and strove with eager hold / a green-leaved sapling from the soil to tear, / to shade with boughs the altars, when behold / a portent, weird to see and wondrous to unfold!

Dans la cour du palais, de ses rameaux antiques / un laurier embrassant ses autels domestiques / les couvrait de son ombre.

Within the palace, open to the day, / there stood a massive altar. Overhead, / with drooping boughs, a venerable bay / its shadowy foliage o'er the home-gods spread.

" Chaste Vesta ! dit-il, sainte divinité ! / Sacrés bandeaux ! autels parés pour mon supplice ! / Fer que j'ai vu briller pour l'affreux sacrifice ! "

"Ye powers inviolate, ever-burning lights! / Ye ruthless swords and altars, which I fled, / Ye sacred fillets, that adorned my head!"

Le nombre nous accable, et, le premier, hélas ! / Corèbe tombe mort aux autels de Pallas : / il tombe en défendant le jeune objet qu'il aime.

O'erwhelmed with odds, we perish; first of all, / struck down by fierce Peneleus by the fane / of warlike Pallas, doth Coroebus fall.

Sur son char aussitôt la brillante déesse / revole vers Paphos, lieux charmants où sans cesse / l'encens le plus parfait, les plus nouvelles fleurs / embaument cent autels de leurs douces odeurs.

Then back, rejoicing, through the liquid air / to Paphos and her home she flies away, / where, steaming with Sabaean incense rare, / an hundred altars breathe with garlands fresh and fair.

De ses Grecs irrités redoutant le courroux, / la haine des Troyens, la fureur d'un époux, / cette vile beauté, pour qui la jalousie / arma la Grèce et Troie, et l'Europe et l'Asie, / se cachait ; et, tremblante à l'ombre des autels, / fuyait aux pieds des dieux la fureur des mortels.

There, mute, and, as the traitress deemed, unknown, / dreading the Danaan's vengeance, and the sword / of Trojans, wroth for Pergamus o'erthrown, / dreading the anger of her injured lord, / sat Troy's and Argos' fiend, twice hateful and abhorred.

" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "

"Ye too, my servants, hearken my commands. / Outside the city is a mound, where, dear / to Ceres once, but now deserted, stands / a temple, and an aged cypress near, / for ages hallowed with religious fear."

" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "

- "But I, who walk in majesty as queen of the gods, both sister and wife of Jupiter, I am still waging wars with one tribe for all these years! And who will worship the divine spirit of Juno after this, or what suppliant will bring an offering to her altars?"
- "But I, who walk the Queen of Heaven confessed, / Jove's sister-spouse, shall I forevermore / with one poor tribe keep warring without rest? / Who then henceforth shall Juno's power adore? / Who then her fanes frequent, her deity implore?"

Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.

So to his shade, with funeral rites, we rear / a mound, and altars to the dead prepare, / wreathed with dark cypress. Round them, as of yore, / pace Troy's sad matrons, with their streaming hair. / Warm milk from bowls, and holy blood we pour, / and thrice with loud farewell the peaceful shade deplore.

Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.

Saved beyond hope and glad the land is won, / and lustral rites, with blazing altars, pay / to Jove, and make the shores of Actium gay / with Ilian games, as, like our sires, we strip / and oil our sinews for the wrestler's play. / Proud, thus escaping from the foemen's grip, / past all the Argive towns, through swarming Greeks, to slip.

Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "

So when the bold and compact band I see, / "Brave hearts", I cry, "but brave, alas! in vain; / if firm your purpose holds to follow me / who dare the worst, our present plight is plain. / Troy's guardian gods have left her; altar, fane, / all is deserted, every temple bare. / The town ye aid is burning. Forward, then, / to die and mingle in the tumult's blare."

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Within a grove Andromache that day, / where Simois in fancy flowed again, / her offerings chanced at Hector's grave to pay, / a turf-built cenotaph, with altars twain, / source of her tears and sacred to the slain – / and called his shade.