Examples of using "Johon" in a sentence and their french translations:
Tu es la seule personne sur qui je puisse compter.
C'est un homme sur qui vous pouvez compter.
- C'est un homme sur qui vous pouvez compter.
- C'est un homme sur qui tu peux compter.
- Tatoeba: Là où les citations se meurent.
- Tatoeba: Là où les citations s'en vont mourir.
Tom est la seule personne à qui je peux vraiment faire confiance.
La nuit, tout l'air froid ira se mettre dedans.
Tu veux aller quelque part ?
Il y a un endroit où tu aimerais aller, en Europe ?
Tu veux aller quelque part ?
Le plus important, en rappel, c'est de bien s'ancrer.
mais c'est le plus gros rocher que j'ai trouvé.
La carrière illustre de l'actrice fut honorée à un gala auquel participa un aréopage de célébrités de premier plan.
Y a-t-il un endroit quelconque où tu veuilles te rendre ?
Afin de rencontrer Marie la Vénusienne qu’il avait connue sur Twitter, Tom le Saturnien se rendit sur Vénus pendant les vacances d’été.
Il y a eu de nombreux génocides dans l'histoire, mais le plus célèbre (ou tristement célèbre) est celui perpétré par les Nazis.
« T’as un truc de prévu, après les cours ? » « Rien de spécial, pourquoi ? » « Il y a un endroit où j’aimerais bien aller. Tu veux pas venir avec moi ? »
Maria ne soupçonnait pas que "Tom", son correspondant, avec lequel elle correspondait depuis des mois par Internet et dont elle était secrètement amoureuse sans l'avoir jamais rencontré, était juste un écureuil surdoué.
J'ai trouvé un jour dans une école un garçon de taille moyenne qui maltraitait un petit garçon. Je lui ai fait la leçon, mais il a répondu : "Les grands me frappent, alors je frappe les petits ; c'est juste." Par ces paroles, il a résumé toute l'histoire du genre humain.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.