Examples of using "Tide" in a sentence and their french translations:
Une marée montante élève tous les bateaux.
Nul flux sans reflux.
La marée monte.
La marée monte vite.
Enfin, la marée s'inverse.
C'est la marée basse.
La marée montante lève tous les bateaux.
Le vent tourne en défaveur de Tom.
pour les aider à endiguer la vague."
Il nage à contre courant.
La marée haute est à 3 heures cet après-midi.
Que faut-il entendre par « There is a tide » ?
Il essaya de nager contre la marée.
En attendant le changement de marée,
Notre bateau dériva vers la côte à cause du courant.
ils ont ces boutons Tide, vous le poussez,
La marée monte sérieusement, maintenant.
Je me bats contre le temps, la marée et ces racines infernales.
mais avalent de la lessive pour un challenge en ligne
J'ai marché le long de la plage lorsque la marée descendait.
En inversant la tendance, vous êtes sur la prochaine vague.
boom, vous n'avez plus de courant, est automatiquement livré
Pour arriver à la source, on doit nager contre le courant.
Avec la pleine lune, la marée ne peut être plus haute.
Jusqu'au retour de la marée, une nuit difficile l'attend.
La liste des personnages de la mare change à chaque marée.
Le vent et la marée ont poussé le navire vers le rivage.
Mais la marée haute a attiré des périls plus grands encore sur le rivage.
Grâce à sa détermination, il fut capable de surmonter la crise.
En anglais populaire, on appelle « pelleter de la merde contre la marée », un effort désespérément infructueux.
J'ai faim: je vais manger un petit bout pour patienter jusqu'au dîner.
Choquée par la manœuvre rapide de Khalid, la cavalerie lourde impériale tentait en vain d'endiguer la marée.
La marée emporte les œufs fertilisés loin des bouches affamées du récif, vers les eaux profondes.
Mais ça nous amène aussi près de ces falaises, où on sera à la merci de la marée.
Nous ne pouvons laisser nos tentes sur la plage où elles sont actuellement. Si nous le faisons, elles se trouveront sous l'eau à la marée haute.
La pauvre veuve - elle-même orpheline - avec ses deux jeunes enfants, lutta bravement durant un moment contre l'épouvantable marée de l'adversité.
Les uns sur la cime des flots / demeurent suspendus ; d'autres au fond des eaux / roulent, épouvantés de découvrir la terre : / aux sables bouillonnants l'onde livre la guerre.
Déjà d'Ilionée et du vaillant Abas / l'eau brise le tillac, le vent courbe les mâts ; / déjà du vieil Alète et du fidèle Achate / le vaisseau fatigué s'ouvre, se brise, éclate ; / et les torrents vainqueurs entrent de tous côtés.
Par le fougueux autan rapidement poussés, / contre de vastes rocs trois vaisseaux son lancés.
Par exemple, dans les affaires de mon père, la planification des ventes et des achats était très importante, et il devait parfois écrire ou dire à ses collègues, "il y a un afflux", sans entrer dans le détail.
Quand deux affreux serpents, sortis de Ténédos, / ( j'en tremble encor d'horreur ! ) s'allongent sur les flots ; / par un calme profond, fendant l'onde écumante.
D'autres gagnent la mer, et d'une course agile / volent à leurs vaisseaux demander un asile, / ou vers l'affreux cheval courent épouvantés, / et rentrent dans les flancs qui les avaient portés.
" Mais les plus éclairés, se défiant des Grecs, / veulent que, sans tarder, ces présents trop suspects / soient livrés à la flamme, ou plongés dans les ondes, / ou qu'on en fouille au moins les cavités profondes. "
" Mais, si ce doux espoir est ravi sans ressource, / ô père des Troyens ! si les flots ennemis / ont englouti tes jours et les jours de ton fils, / du moins que nous allions chercher dans la Sicile / les faveurs d'un bon prince et d'un climat fertile ! "
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
Puis il dit à la marée montante : « Il vous appartient de vous soumettre à moi, car les terres sur lesquelles je trône m'appartiennent et personne n'a résisté impunément à ma souveraineté. Par conséquent, je vous ordonne de ne pas avancer sur mes terres et de ne pas oser mouiller les vêtements ou les membres de votre maître. »