Examples of using "Alas" in a sentence and their french translations:
Hélas !
- Tant pis !
- Dommage.
- Regrettablement !
- Malheureusement !
- Hélas !
- Ça alors !
- Mince !
- Oh, la vache !
Hélas, j'étais en retard.
Elle est malheureusement morte jeune.
Mais hélas, aucune fée du genre est venue,
et hélas, il est alors devenu très clair
Hélas, je meurs au-dessus de mes moyens.
Attacher vous-même un numéro de maison pour la première fois, hélas!
Sa copine est une belle femme, mais malheureusement elle est bête à manger du foin.
C'est peu : pour mieux encore assurer sa victoire, / Cassandre, qu'Apollon nous défendait de croire, / rend des oracles vains que l'on n'écoute pas.
Si on a laissé la priorité au veau et qu'on prélève très peu de colostrum, ça passe. L'homme s'oublie, hélas !
" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "
Les lions solitaires, hélas, finissent toujours par être chassés et hagards. Comment les Kabyles ont-ils réussi à se laisser dépouiller par les hyènes en 62 ?
L'imprudente Didon tendrement le caresse, / le tient sur ses genoux, entre ses bras le presse, / s'enivre de sa vue, hélas ! et ne sait pas / quel redoutable dieu se joue entre ses bras.
" Quand le perfide Ulysse eut à sa lâche envie, / vous ne l'ignorez pas, immolé ce héros, / en silence d'abord pleurant ses noirs complots, / pleurant de mon ami la triste destinée, / je traînais dans le deuil ma vie infortunée. "
" Seul, désarmé, d'abord sur cette foule immense / son timide regard se promène en silence ; / tout à coup il s'écrie : " O sort ! ô désespoir ! / Quelles mers, quels pays voudront me recevoir ? / La Grèce me poursuit, et, par ma mort certaine, / les Troyens furieux vont assouvir leur haine ! " "
" Cher et cruel époux ! si tu cours au trépas, / me dit-elle, à la mort traîne-nous sur tes pas ! / Si ton dernier effort peut être encore utile, / ah ! commence du moins par sauver cet asile. / Que deviendront un père, un enfant précieux, / et ton épouse, hélas ! jadis chère à tes yeux ? "
Le vieillard, à ces mots, / de son cœur oppressé poussant de longs sanglots : / " Il est, il est venu ce jour épouvantable, / ce jour de nos grandeurs le terme inévitable : / Ilion, les Troyens, tout est anéanti. / De Jupiter sur nous le bras appesanti / livre aux enfants d'Argos leur malheureuse proie. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "
Aux clartés de la lune accourent sur mes pas, / et le sage Rhipée et le vaillant Dymas, / Hypanis qu'enflammait une ardente jeunesse, / Iphite encor bouillant en sa mâle vieillesse, / et le jeune Corèbe enfin, qui, dans ce jour, / pour Cassandre brûlant d'un trop funeste amour, / venait briguer sa main dans le champs de la gloire, / hélas ! et comme nous refusa de la croire.