Examples of using "глуп" in a sentence and their french translations:
Tom est-il bête ?
- Est-ce que tu penses que je suis stupide ?
- Pensez-vous que je sois stupide ?
- Est-ce que vous pensez que je suis stupide ?
T'es con comme une bite.
Tom est très stupide.
Peut-être que Tom est stupide.
Il est incroyablement idiot.
J'ai pensé qu'il était stupide.
T'es vraiment pas bête.
Mais qu'est-ce que j'ai pu être bête !
- Tu es trop stupide pour vivre.
- Vous êtes trop stupide pour vivre.
Le temps est aveugle, l’homme est stupide.
Il pensait que j'étais stupide.
- J'ai pensé qu'il était stupide.
- Je l’ai trouvé stupide.
Il n'est pas aussi bête qu'il en a l'air.
- Tu es bête.
- Tu es idiote.
- Tu es stupide.
Je sais que Tom n'est pas stupide.
Il n'est pas idiot.
Il n'est pas idiot.
Je sais que tu n'es pas stupide.
Celui qui lit cette phrase est con.
- J'étais assez bête pour y croire.
- Je fus assez stupide pour le croire.
Il n'est pas bête au point de croire à une chose pareille.
Quel imbécile il fait !
Il a été suffisamment stupide pour la croire.
Je fus assez stupide pour le croire.
Tom n'est pas du tout stupide. Il est seulement paresseux.
T'es vraiment pas bête.
Je fus assez stupide pour le croire.
- Il est suffisamment avisé pour ne pas croire à une telle chose.
- Il n'est pas bête au point de croire à une chose pareille.
Je ne suis pas stupide à ce point !
Je ne suis pas assez bête pour croire une telle rumeur.
Il a été assez stupide pour y croire.
- Tu es bête.
- Tu es stupide.
Je ne suis pas assez stupide pour lui prêter de l'argent.
Il n'est pas stupide au point de croire à cette histoire.
Il est incroyablement idiot.
- Vous êtes incroyablement stupide.
- Tu es incroyablement stupide.
Tu n'es qu'un idiot ! Je dois tout t'expliquer !
C'était stupide de sa part de faire une chose pareille.
- Tu es stupide de lui faire confiance.
- Vous êtes idiot de vous fier à lui.
- Vous êtes stupides de vous fier à lui.
Personne d'entre nous ne fut assez stupide pour le croire.
Tom pense que je suis stupide.
Tom est stupide, mais pas si stupide.
- Je sais que tu n'es pas stupide au point de croire ça.
- Je sais que tu n'es pas assez stupide pour croire cela.
- Je sais que vous n'êtes pas assez stupide pour croire cela.
- Je sais que vous n'êtes pas stupides au point de croire cela.
- Je sais que tu n'es pas stupide.
- Je sais que vous n'êtes pas stupide.
J'étais stupide.
- Il est bête à manger du foin.
- Il est bête comme ses pieds.
- Il est bête à manger de l'herbe.
J'étais suffisament idiote pour croire Tom.
- Peut-être que tu n'es pas aussi bête que tu en as l'air.
- Peut-être que vous n'êtes pas aussi idiot que vous en avez l'air.
J'étais jeune et idiot.
- J'étais suffisament idiot pour croire Tom.
- J'étais suffisament idiote pour croire Tom.
- J'étais jeune et idiot.
- J'étais jeune et idiote.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.