Examples of using "Tantas" in a sentence and their french translations:
Autant de têtes, autant d'avis.
- Tant de phrases.
- Tant d'opinions.
- Peut-être.
- Éventuellement.
- Possiblement.
- Ne pose pas tant de questions !
- Ne posez pas tant de questions !
- Autant de têtes, autant d'avis.
- Chaque tête, chaque avis.
Il y a tellement d'outils là-bas
Parce qu'ils ont tellement de gens
J'ai testé tellement de différentes variations.
et tant de gens là-bas,
parce qu'il y avait tellement de pierres du ciel
Je ne peux pas mémoriser autant de ces lettres.
Tant de questions et si peu de réponses.
Ne me posez pas tant de questions, servez-vous de votre tête.
Mais avec tant de mères protectrices aux alentours,
C'est difficile de prévoir à manger pour autant de gens.
Pourquoi y a-t-il tant de visiteurs aujourd'hui ?
- Je n'ai jamais vu tant d'arbres de ma vie !
- Je n'ai jamais vu autant d'arbres de ma vie !
- Je n'ai jamais vu tant de phrases au cours de ma vie !
- Je n'ai jamais vu autant de phrases de ma vie !
il y a tellement de façons différentes de accomplir cela, il vous suffit d'obtenir
Il y a tellement de gens qui savent
Il y a tellement de différents versions de preuve sociale.
tant de gens essaient juste prendre d'eux.
et d'être si présente dans les médias.
Pourquoi y a-t'il tant de gens malhonnêtes dans le monde ?
Ne me posez pas tant de questions, servez-vous de votre tête.
- Je me demande pourquoi il y a tant de guerres.
- Je me demande pourquoi il y a autant de guerres.
mais je ne recommande pas d'utiliser trop d'outils comme ça.
Il y a tellement de différents variations que vous pourriez utiliser.
On a tellement de visiteurs parce que c'est son anniversaire.
Il y a trop de choses à faire !
Il y a tant de choses que je veux que vous sachiez.
J'ai mentionné tous ces outils tant de fois sur mes vidéos.
Je n'aime pas qu'il vienne si souvent chez moi.
Je n'ai jamais imaginé que tant de gens viendraient à ma fête.
J'ai tellement de choses à vous dire que je ne sais pas par où commencer.
Pour l'avoir entendu tant de fois, je peux maintenant réciter le poème par cœur.
Papa ne mange pas beaucoup de fruits.
J'ai tellement de vêtements que je ne sais pas quoi mettre demain.
David a tellement de petites copines qu'il n'arrive pas à retenir tous leurs noms.
Il y a tant à faire et seulement la durée d'une vie pour le faire.
" Ces honneurs, dit Vénus, pour moi ne sont pas faits. / Cet habit, ce carquois, cet arc, cette chaussure, / sont des filles de Tyr l'ordinaire parure. "
Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée.
Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre.
" Comme vous fugitive, / comme vous exilée, enfin sur cette rive / j'ai trouvé le repos ; partagez sa douceur : / malheureuse, j'appris à plaindre le malheur. "
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
" Non, non, ce ne sont point ces objets de ta haine, / non, ce n'est point Pâris, ni l'odieuse Hélène, / c'est le courroux des dieux qui renverse nos murs. "
" O vous, l'amour, l'espoir et l'orgueil des Troyens, / Hector, quel dieu vous rend à vos concitoyens ? / Que nous avons souffert de votre longue absence ! / Que nous avons d'Hector imploré la présence ! "
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
Tout bénit d'Actium la terre inattendue : / on dresse des autels ; on offre au roi des dieux / des expiations, de l'encens et des vœux ; / on s'applaudit d'avoir, comme une terre amie, / franchi de nos vainqueurs la contrée ennemie. / Enfin de nos lutteurs l'essaim est assemblé ; / sur leurs corps demi-nus des flots d'huile on coulée : / à ces jeux paternels nous volons avec joie, / et notre cœur palpite au souvenir de Troie.
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
Je visite du dieu le temple tutélaire, / et je m'écrie : " O toi, que dans Thymbre on révère, / à ce malheureux peuple, errant, persécuté, / donne un asile sûr, une postérité ! / Où faut-il transporter, nous, nos dieux, et Pergame ? / Viens, parle, éclaire-nous, et descends dans notre âme ! "