Examples of using "Parentes" in a sentence and their french translations:
- Avez-vous ici des parents ?
- As-tu ici des parents ?
As-tu de la parenté en Allemagne ?
Tu as de la famille à Boston ?
La famille élargie arrive à la rescousse.
Je rends souvent visite à mes proches.
Des souffrances des Allemands aux proches intéressés
Ils ont dit qu'ils étaient liés à la mariée.
le désir de prier comme s'ils étaient par rapport à eux
il y avait aussi des parents intéressés, des gens intéressés dans ce film
ses amis au travail étaient fatigués de leurs proches
J'ai beaucoup de parents, en particulier du côté de ma mère.
Bien que proches cousins des otaries à fourrure, ils sont sept fois plus gros.
Les parents héritiers étaient déjà entourés d'un âne héritier
Elle n'a aucun ami ou parent pour prendre soin d'elle.
peuvent scruter le monde de nos cousins nocturnes les plus proches.
Mais ici, des cousins éloignés et de complets inconnus boivent et se baignent sous les étoiles.
Jacob prit une pierre et l’érigea en monument. Et il dit à ses frères : "Ramassez des pierres." Ils prirent des pierres et en firent un monceau et l’on mangea là, sur le monceau.
Mais périsse celui auprès duquel tu trouveras tes dieux ! En présence de nos frères, examine ce qui t’appartient chez moi, et prends-le. Jacob ne savait pas que Rachel les eût dérobés.
Jacob s’irrita, et querella Laban. Il reprit la parole, et lui dit : Quel est mon crime, quel est mon péché, que tu me poursuives avec tant d’ardeur ? Quand tu as fouillé tous mes effets, qu’as-tu trouvé des effets de ta maison ? Produis-le ici devant mes frères et tes frères, et qu’ils prononcent entre nous deux.
Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "