Examples of using "Junto" in a sentence and their french translations:
- Chante avec moi !
- Chante avec nous !
Prenons tout cela ensemble
- Tu peux te joindre.
- Vous pouvez venir.
Je veux passer du temps avec toi.
- J'aimerais me joindre.
- J'aimerais venir.
Je veux passer du temps avec toi.
Je veux passer du temps avec toi.
- A côté de la table se trouvent deux chaises.
- Il y a deux chaises à côté de la table.
Tout l'argent réuni ne suffira pas.
Cela te dérangerait-il que je t'accompagne ?
- Je vais dehors pour jouer. Viens-tu avec moi ?
- Je vais jouer dehors. Viens-tu avec moi ?
Nous passons nos vacances toujours à la mer.
Une foule importante s'est rassemblée sur le lieu de l'incendie.
Vous faites un webinaire conjoint avec eux.
Il emménage avec sa petite amie.
J'aimerais m'asseoir avec ma famille.
En plus de toutes les épreuves de la vie à la campagne,
et ce genre va avec s'assurer
Je les enverrais par courriel séparément, pas ensemble.
- Il était assis à lire près du feu, avec sa femme qui cousait.
- Il était assis avec sa femme près du feu, lui lisant, elle cousant.
Si demain tu es libre, on peut manger ensemble le midi.
- Je m'assis à son côté.
- Je m'assis auprès d'elle.
- Je m'assis près d'elle.
- Je me suis assise auprès d'elle.
- Je me suis assise près d'elle.
- Je me suis assise à son côté.
- Je me suis assise à côté d'elle.
- Je m'assis à côté d'elle.
- Je me suis assise à ses côtés.
- Elle s'assit près de lui.
- Elle s'est assise près de lui.
- Elle s'assit auprès de lui.
- Elle s'est assise auprès de lui.
- Elle s'est assise à son côté.
- Elle s'est assise à côté de lui.
- Elle s'assit à son côté.
- Elle s'assit à côté de lui.
Si c'est le ça, vous êtes comme la moitié de la population sur cette planète.
À l'équateur, le jour et la nuit sont égaux.
Nous passons nos vacances toujours à la mer.
Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.
Elle s'assit à son côté.
- J'aimerais vous accompagner, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
- J'aimerais les accompagner, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
- J'aimerais t'accompagner, si tu n'y vois pas d'inconvénient.
" Fuis ; calme un vain courroux : fuis, c'en est fait. Ta mère / va protéger tes pas, et te rendre à ton père. "
Je regrette que vous ne soyez pas près de moi.
Assieds-toi près de ton père.
" Mais Oreste en fureur, qu'incessamment tourmente / le fouet de Némésis, le regret d'une amante, / jette aux pieds de l'autel son rival égorgé, / et ce rapt criminel par un crime est vengé. "
Le jeune homme s'est enrôlé dans notre armée et a courageusement combattu avec nous contre nos ennemis.
Il emmena tout son troupeau et tous les biens qu’il possédait, le troupeau qui lui appartenait, qu’il avait acquis à Paddan Aram ; et il s’en alla vers Isaac, son père, au pays de Canaan.
À l'abri des rochers, et sous de noirs ombrages, / il laisse ses vaisseaux ; et, deux traits à la main, / suivi du seul Achate, il se fraie un chemin.
Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.
Elle baisse les yeux ; et, s'exprimant à peine : / " Que je te porte envie, heureuse Polyxène ! / Ton cœur ne connut pas les douceurs de l'hymen ; / mais du moins tu péris sous les remparts de Troie, / mais les arrêts du sort qui choisissait sa proie / n'ont pas nommé ton maître, et, captivant ton cœur, / mis la fille des rois aux bras de son vainqueur. "
Quand Troie eut succombé, quand le fer et les feux / eurent détruit ses murs condamnés par les dieux, / et que, de ses grandeurs étonné de descendre, / le superbe Ilion fut caché sous la cendre, / innocents et proscrits, pour fixer nos destins, / il nous fallut chercher des rivages lointains. / Soumis aux lois du sort, aux oracles fidèle, / sous les hauteurs d'Antandre et du mont de Cybèle, / j'équipe des vaisseaux, incertain sur quel bord / vont nous guider les dieux, va nous jeter le sort.