Examples of using "Foste" in a sentence and their french translations:
- Tu t'es fait avoir.
- Vous vous êtes fait avoir.
- On t'a trompé.
Tu as été adopté.
Qu'es-tu allé faire en Russie ?
Avez-vous déjà été soldat ?
Avez-vous déjà été professeur ?
- Où vous êtes-vous rendu ?
- Où vous êtes-vous rendue ?
- Où vous êtes-vous rendus ?
- Où vous êtes-vous rendues ?
- Où es-tu allé ?
- Où es-tu allée ?
- Où êtes-vous allées ?
- Où êtes-vous allés ?
- Où êtes-vous allé ?
- T'es parti où ?
Vous êtes l'élu.
Pour quelle raison y as-tu été ?
- As-tu assisté à l'enterrement de Tom ?
- Avez-vous assisté à l'enterrement de Tom ?
- Où allais-tu ?
- Où vous êtes-vous rendu ?
- Où vous êtes-vous rendue ?
- Où vous êtes-vous rendus ?
- Où vous êtes-vous rendues ?
- Où es-tu allé ?
- Où es-tu allée ?
- Où as-tu été ?
- Où avez-vous été ?
- Où êtes-vous allées ?
- Où êtes-vous allés ?
- Où êtes-vous allé ?
- T’es allé où ?
- T’es allée où ?
Pourquoi es-tu parti sans rien dire ?
Ils ont tous demandé pourquoi tu n'y étais pas. J'ai dit que tu étais parti.
L'as-tu déjà rencontré ?
Pourquoi tu m'as réveillé pour me dire quelque chose d'aussi important ? Maintenant, j'vais jamais pouvoir me concentrer sur mon travail !
- D'où le tenez-vous ?
- D'où tenez-vous cela ?
- D'où tenez-vous ça ?
As-tu déjà rencontré monsieur Smith ?
« Où étais-tu passé ? » « Je viens d'en bas. » « Qu'est-ce que tu fabriquais ? » « Je suis allé faire pipi. »
Tu ne m’as pas permis d’embrasser mes fils et mes filles ! C’est en insensé que tu as agi. Ma main est assez forte pour vous faire du mal ; mais le Dieu de votre père m’a dit hier : Garde-toi de parler à Jacob ni en bien ni en mal !
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "