Examples of using "Escura" in a sentence and their french translations:
C'était une nuit noire.
C'était une nuit noire.
La rue était sombre.
Tom a la peau foncée.
C'est une nuit sombre, sans lune, froide.
La pièce était sombre.
est également très lisible, grande, de couleur foncée.
C'est pendant sa phase la plus sombre
John sentit la présence d'un fantôme dans la pièce sombre.
Et plus la nuit est noire, plus ces eaux révèlent des merveilles.
Le bois était très sombre et elle ne pouvait s'empêcher de trembler de peur.
Dans la savane africaine, la lune est presque dans sa phase la plus sombre.
Une caméra thermique peut percer la nuit la plus noire.
Je n'ai pas voulu boire le vin, car il contenait comme une impureté suspecte.
Ce n'est pas bon de lire dans une pièce sombre.
Il est très difficile de trouver un chat noir dans une pièce sombre, surtout s'il n'y a pas de chat.
Dans les plaines ouvertes, chaque nuit génère une nouvelle épreuve. La savane africaine s'assombrit.
Il utilisait l'équivalent du mot "violet" pour décrire du sang, un nuage sombre, une vague,
Au milieu du chemin de notre vie, je me retrouvai dans une forêt obscure, car la voie droite était perdue.
De ces armes couverts, sous un sinistre augure, / nous nous mêlons aux Grecs, et dans la nuit obscure / par une heureuse erreur nous triomphons d'abord. / Plus d'un guerrier d'Argos descend au sombre bord.
" Je l'avoûrai, Troyens, / j'échappai de l'autel ; je brisai mes liens ; / et, caché dans les joncs d'un fangeux marécage, / j'attendis que la Grèce eût quitté ce rivage. "
Sa mère cependant ne l'abandonne pas : / elle ordonne aussitôt que d'une épaisse nue / le voile officieux les dérobe à la vue ; / qu'à l'abri des retards, à l'abri du danger, / nul ne puisse les voir ni les interroger.
Ceux même qu'au milieu de la nuit ténébreuse / emporta devant nous une fuite honteuse / reparaissent soudain, brûlant de se venger, / remarquent notre accent à leur langue étranger, / et, de nos compagnons reconnaissant l'armure, / de nos déguisements découvrent l'imposture.
Je retourne d'abord vers la voûte secrète / dont le passage obscur seconda ma retraite ; / je reviens sur mes pas, et d'un œil curieux / mes avides regards interrogent ces lieux. / Partout règne le deuil, partout l'ombre effrayante, / et le silence même ajoute à l'épouvante.
Des deux côtés du port un vaste roc s'avance, / qui menace les cieux de son sommet immense ; / balancés par les vents, des bois ceignent son front ; / a ses pieds le flot dort dans un calme profond ; / et des arbres touffus l'amphithéâtre sombre / prolonge sur les flots la noirceur de son ombre.
Comment ai-je pu passer au travers ? Je l’ignore ; mais je n’oublierai jamais ce champ de bataille tragique, les morts, les blessés, les mares de sang, les fragments de cervelle, les plaintes, la nuit noire illuminée de fusées, et le 75 achevant nos blessés accrochés aux fils de fer qui nous séparent des lignes ennemies.