Translation of "Sien" in Portuguese

0.003 sec.

Examples of using "Sien" in a sentence and their portuguese translations:

Cet avion est le sien.

- Este é o avião dele.
- Este é o seu avião.

Ce parapluie sera le sien.

Este guarda-chuva será dela.

C'est le sien, n'est-ce pas ?

Isto é dela, não é?

- C'est le sien.
- C'est la sienne.

- É dela.
- Isso é dela.

- C'est le sien.
- C'est le vôtre.

É o seu.

Ce vélo n'est pas le sien.

Aquela bicicleta não é sua.

Elle glissa son bras dans le sien.

Ela deslizou seu braço no dele.

Le cahier n'est pas à toi, c'est le sien.

O caderno não é seu. É dele.

Ce sac est-il le vôtre ou le sien ?

Esta bolsa é a sua ou a dele?

- Ce sont les siens.
- C'est le sien.
- C'est la sienne.

É dele.

- Ce n'est pas le sien.
- Ce n'est pas la sienne.

- Não é dele.
- Isso não é dele.

- Celui-là est le mien. Je ne sais pas où se trouve le sien.
- Celui-là est le mien. J'ignore où se trouve le sien.

- Esse é o meu. Não sei onde está o seu.
- Esse é o meu. Eu não sei onde está o dele.
- Essa é a minha. Eu não sei onde está a dele.
- Essa é a minha. Eu não sei onde está a sua.

- Ce sont les siens.
- C'est le sien.
- C'est la sienne.
- C'est à elle.

É dela.

Celui-là est le mien. Je ne sais pas où se trouve le sien.

- Esse é o meu. Eu não sei onde está o dele.
- Essa é a minha. Eu não sei onde está a dele.

- Êtes-vous sûr que c'est le sien ?
- Êtes-vous sûr que c'est la sienne ?

Tem certeza de que é dela?

- Le véhicule qu'il conduit n'est pas le sien.
- La voiture qu'il conduit n'est pas la sienne.
- La voiture qu'il conduit n'est pas à lui.

O carro que ele está dirigindo não é dele.

Oronte, sur le sien, tel qu'un mont escarpé, / voit fondre un large flot : par sa chute frappé, / le pilote tremblant, et la tête baissée, / suit le flot qui retombe ; et l'onde courroucée / trois fois sur le vaisseau s'élance à gros bouillons, / l'enveloppe trois fois de ses noirs tourbillons ; / et, cédant tout à coup à la vague qui gronde, / la nef tourne, s'abîme, et disparaît sous l'onde.

Ante os olhos do herói enorme vaga / chofra de cima a popa do navio / onde os lícios e o fiel Orontes viajavam. / Arrancado do leme, o piloto é jogado / de cabeça pra baixo no oceano. / Quanto ao barco, três vezes rodopia / no mesmo ponto, e o turbilhão voraz / rápido o faz sumir, tragado pelo mar.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”