Examples of using "Vessels" in a sentence and their french translations:
Le sang circule dans les vaisseaux sanguins.
Ceux qui en savent le moins parlent toujours le plus fort.
Ses vaisseaux sanguins ont éclaté, sa peau était tachée de rouge,
et de l'adrénaline, qui contracte les vaisseaux sanguins
Sa gorge et ses vaisseaux sanguins sont spécifiquement adaptés
Le port regorge de bateaux de toutes sortes.
Doté de terminaisons nerveuses et de vaisseaux sanguins, il est extrêmement sensible.
est saturé de vaisseaux sanguins au tracé similaire à ces formes récurrentes.
" Scylla, qui, dérobant ses roches dangereuses, / appelle au loin, du sein de ses grottes affreuses, / les vaisseaux que la vague y pousse en mugissant. "
Entre parenthèses, le fait que les branchies du poisson soient d'un rouge brillant est dû à la présence de nombreux vaisseaux capillaires sanguins, comme il s'en trouve dans les poumons.
Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.
Les Tritons, à sa voix, s'efforcent d'arracher / les vaisseaux suspendus aux pointes du rocher ; / et lui-même, étendant son sceptre secourable, / les soulève, leur ouvre un chemin dans le sable, / calme les airs, sur l'onde établit le repos, / et de son char léger rase, en volant, les flots.
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "
" Et nous, nous, vos enfants, attendus dans les cieux, / privés de nos vaisseaux par les vents furieux, / victimes du dépit d'une fière déesse, / sa main du Latium nous écarte sans cesse ! / Grand dieu ! de notre encens est-ce donc là le prix ? "
" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.