Examples of using "Venus" in a sentence and their french translations:
Vénus est dépourvue de lunes.
Venus est une planète très chaude.
nous l'avons vu dans la dionée attrape-mouche,
Vénus est la planète la plus proche de la Terre.
Vénus est également connue sous le nom d'Étoile du Matin.
Mercure, Vénus et Mars sont nos voisins proches.
Vénus et Mars n'ont pas de magnétosphère du tout.
et l'étoile du soir, Vénus, fonctionnait comme la Lune.
Les lycéens étudiaient l'atmosphère de Vénus.
Regardons notre vieille amie, la dionée attrape-mouche,
qui permet d'enregistrer le potentiel d'action de la dionée attrape-mouche,
Durant des siècles, on pensait que Vénus ne pouvait être habitable sans biosphérisation.
Tes yeux sont aussi beaux que les bras de la Vénus de Milo.
Au début du vingtième siècle, nombreux étaient ceux qui pensaient que Vénus était un monde aqueux. Maintenant, au vingt-et-unième siècle, nous savons que Vénus est un grand four brumeux.
Vénus est pareille à l'enfer. Sa température de surface, telle une fournaise, s'élève à plus de quatre-cent-cinquante degrés Celsius.
Venus, planète déserte dotée d'épais nuages d'acide sulfurique, augurait-elle l'avenir de la Terre ?
Vénus n'est qu'à peine plus petite que la Terre et Mars est plus grosse que la moitié de la Terre.
" Brave Énée, êtes-vous, pardonnez ma franchise, / êtes-vous ce héros que du beau sang d'Anchise / Cythérée a fait naître aux bords du Simoïs ? "
Il y a 8 planètes dans notre système solaire : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.
Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "
Afin de rencontrer Marie la Vénusienne qu’il avait connue sur Twitter, Tom le Saturnien se rendit sur Vénus pendant les vacances d’été.
" Crois-moi : d'un fier vainqueur les superbes demeures / ne verront point servir le sang de Dardanus, / l'épouse d'un héros, et le bru de Vénus. "
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
Sa mère cependant ne l'abandonne pas : / elle ordonne aussitôt que d'une épaisse nue / le voile officieux les dérobe à la vue ; / qu'à l'abri des retards, à l'abri du danger, / nul ne puisse les voir ni les interroger.
Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :
" Ces honneurs, dit Vénus, pour moi ne sont pas faits. / Cet habit, ce carquois, cet arc, cette chaussure, / sont des filles de Tyr l'ordinaire parure. "
Le héros poursuivait ce douloureux discours ; / mais sa mère attendrie en arrête le cours. / " Oh ! qui que vous soyez, le ciel vous est propice : / de la belle Didon la bonté protectrice / accueillera vos dieux, et votre peuple, et vous. "
Je savais bien qu'en dehors des grosses planètes comme la Terre, Jupiter, Mars, Vénus, auxquelles on a donné des noms, il y en a des centaines d'autres qui sont quelquefois si petites qu'on a beaucoup de mal à les apercevoir au télescope.
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "