Examples of using "Torn" in a sentence and their french translations:
Elle s'appelle Torn.
Ses vêtements étaient déchirés.
Je suis un peu déchiré maintenant.
Ensuite, il a été démoli.
Le vêtement fut déchiré en lambeaux.
Mon ongle de pouce s'est cassé.
et il peut se fragmenter ou se rompre,
et des rues déchirées dominent la scène .
Avez-vous déjà arraché un guidon?
L'Angleterre a déjà été déchirée par la guerre civile.
Et le garçon a été «arraché» du lit.
Le toit a été arraché par le coup de vent.
Mon esprit est déchiré.
j'ai trouvé que ces jeunes hommes étaient déchirés
Quelqu'un a déchiré deux pages de ce livre.
Je ne pouvais pas supporter que ma maison soit détruite.
fracture du crâne, hémorragie cérébrale, l'aorte déchirée sans doute,
Mon ongle de pouce s'est cassé.
Le toit fut arraché à cause des vents forts.
Un des boutons de mon imperméable s'est arraché.
Le pauvre chien fut carrément déchiqueté par le lion.
Mais voici une photo de Torn avec sa famille aujourd'hui.
Cela signifie: ils seront déchirés et jetés dans les toilettes.
C'est le seul immeuble d'habitation à Boston qui a été démoli récemment.
Les vieilles maisons furent détruites pour faire place à un supermarché.
On dit que le corps de Flaminius a été déchiré en pièces par des soldats gaulois.
Personne ne va verser de larmes si ce vieux bâtiment est détruit.
Un âtre se tenait là mais je suppose qu'il a été détruit.
met dans une situation impossible - déchiré dans les deux sens par son sens du devoir et de sa loyauté.
La vérité a un beau visage mais des vêtements déchirés.
Les bagages étaient si lourds que je craignais que mes bras ne me lâchent.
Après la destruction du mur, les Berlinois ont pu voir les deux côtés de Berlin en même temps pour la première fois depuis 1961.
Les termes d'un jeu de mots ne sont ni anodins ni sans liens mais sont interconnectés dans un réseau si tortueux que seuls les détours en sont intelligibles.
Mary dormait; elle était encore vêtue de sa robe blanche déchirée, et ses longs cheveux noirs qui flottaient en désordre sur ses épaules, faisaient ressortir la pâleur de son teint.
" Vois-tu ces longs débris, ces pierres dispersées, / de ces brûlantes tours les masses renversées, / cette poudre, ces feux ondoyants dans les airs ? / Là, le trident en main, le puissant dieu des mers, / de la terre à grands coups entr'ouvrant les entrailles, / à leur base profonde arrache nos murailles, / et dans ses fondements déracine Ilion. "
" Moi, d'un jeune orgueilleux, trop digne de son père, / souffrant l'amour superbe et la fierté sévère, / j'ai rampé sous un maître, et, par mille revers, / passé de Troie en cendre à l'opprobre des fers. / Bientôt, nouveau Pâris, jusqu'à Lacédémone / mon dédaigneux époux court ravir Hermione ; / et, fuyant des plaisirs par la force obtenus, / il m'abandonne esclave à l'esclave Hélénus. "
Là, sont accumulés tous les trésors de Troie, / et les vases d'or pur, et les tables des dieux, / et des pontifes saints les vêtements pompeux. / Autour de cet amas de dépouilles captives / se pressent les enfants et les mères plaintives.
Ces vingt ans que j’ai été chez toi, tes brebis, ni tes chèvres n’ont avorté et les béliers de ton troupeau, je n’en ai point mangé. La bête mise en pièces, je ne te l’ai point rapportée ; c’est moi qui en souffrais le dommage, tu me la faisais payer, qu’elle eût été prise le jour, qu’elle eût été ravie la nuit.
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
De temps à autre, elle sombrait dans une sorte de rêverie et, lorsqu’elle était totalement seule, elle raisonnait ainsi : « je suis souffrante et pourtant j’en ignore la cause. Je souffre, bien que je n’aie nulle blessure. Je me sens affligée et je n’ai pourtant égaré aucun de mes moutons. Je brûle, tout en me tenant assise à l’ombre. Combien de fois les ronces m’ont-elles écorché la peau sans que je ne pleure ? Combien d’abeilles m’ont-elles piquée de leurs dards et n’étais-je si vite guérie ? Ainsi ce qui m’a maintenant blessée au cœur doit être plus vif que tout cela ! »