Translation of "Foes" in French

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Examples of using "Foes" in a sentence and their french translations:

The two political parties are irreconcilable foes.

Les deux partis politiques sont des adversaires irréconciliables.

You shall judge of a man by his foes as well as by his friends.

Il faut juger un homme autant sur ses ennemis que sur ses amis.

But anon new foes / come swarming up, while ever and again / fast fall the showers of stones, and thick the javelins rain.

Sans cesse l'on attaque, on repousse sans cesse ; / d'un côté la Phrygie, et de l'autre la Grèce, / font voler, font pleuvoir les pierres et les traits.

Fame flies, Idomeneus has left the land, / expelled his kingdom; that the shore lies clear / of foes, and homes are ready to our hand.

Le bruit court qu'un grand roi, notre ennemi cruel, / Idomenée, a fui le trône paternel ; / qu' abandonnés des Grecs, les rivages de Crète / promettent aux Troyens une douce retraite.

See, now, Polites, one of Priam's sons, / scarce slipt from Pyrrhus' butchery, and lame, / through foes, through darts, along the cloisters runs / and empty courtyards.

Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, / à travers mille dards, un dernier fils du roi / s'échappe, et du palais dépeuplé par l'effroi / traverse tout sanglant la longue galerie.

"Troy once more / shakes off her ten years' sorrow. Open stand / the gates. With joy to the abandoned shore, / the places bare of foes, the Dorian lines we pour."

" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "

Here first with missiles, from a temple's height / hurled by our comrades, we are crushed and slain, / and piteous is the slaughter, at the sight / of Argive helms for Argive foes mista'en.

Mais nos concitoyens, / sous les armes des Grecs ignorant les Troyens, / du temple de Pallas lancent sur notre tête / d'une grêle de traits l'effroyable tempête.

"As for yon shore and that Italian coast, / washed, where the land lies nearest, by our main, / shun them; their cities hold a hostile host. / There Troy's old foes, the evil Argives, reign."

" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "

"Leave me, pray, / and bid me, as a shrouded corpse, farewell. / For death, this hand will find for me the way, / or foes who spoil will pity me and slay. / Light is the loss of sepulchre or pyre."

" Vous, à qui votre sort impose d'autres lois, / mes enfants, saluez ces misérables restes. / Je saurai, de ma main, trancher ces jours funestes ; / ou l'ennemi lui-même, une fois plus humain, / daignera par pitié terminer mon destin. / Qu'importe, après ma mort, où l'on jette ma cendre ? "

On we stride / through shadowy ways; and I who rushing spear / and thronging foes but lately had defied, / now fear each sound, each whisper of the air, / trembling for him I lead, and for the charge I bear.

Des lieux les plus obscurs nous traversons l'horreur ; / et moi, qui tant de fois avais vu sans terreur / et les bataillons grecs et le glaive homicide, / une ombre m'épouvante, un souffle m'intimide ; / je n'ose respirer, je tremble au moindre bruit, / et pour ce que je porte, et pour ce qui me suit.

To such vain quest he cared not to reply, / but, heaving from his breast a deep-drawn sigh, / "Fly, Goddess-born! and get thee from the fire! / The foes", he said, "are on the ramparts. Fly! / All Troy is tumbling from her topmost spire. / No more can Priam's land, nor Priam's self require."

Il ne me répond rien. Puis, d'un ton plein d'effroi, / poussant un long soupir : " Fuis, dit-il, sauve-toi ; / sauve-toi, fils des dieux ; contre nous tout conspire : / il fut un Ilion, il fut un grand empire. / Tout espoir est perdu ; fuis : tes vaillantes mains / ont fait assez pour Troie, assez pour nos destins. / Notre règne est fini, notre heure est arrivée. "

And now I neared the gates, and thought my flight / achieved, when suddenly a noise we hear / of trampling feet, and, peering through the night, / my father cries, "Fly, son, the Greeks are near; / they come, I see the glint of shield and spear, / fierce foes in front and flashing arms behind."

Enfin nous échappons de cette ville en cendre. / Nous nous croyions sauvés, lorsque je crois entendre / d'un bataillon nombreux les pas précipités ; / et, dans l'ombre jetant ses yeux épouvantés, / " Fuis, cours, fuis ! je les vois, je vois briller leurs armes ! " dit mon père.

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

"Now, to ease thy woes, / since sorrow for his sake hath dimmed thine eyes, / more will I tell, and hidden fates disclose. / He in Italia long shall battle with his foes, / and crush fierce tribes, and milder ways ordain, / and cities build and wield the Latin sway, / till the third summer shall have seen him reign, / and three long winter-seasons passed away / since fierce Rutulia did his arms obey."

" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "