Examples of using "чужой" in a sentence and their french translations:
- C'est un étranger.
- Il s'agit d'un étranger.
Ici, Tom est un étranger.
Respectez le sommeil de chacun.
Elle m'est devenue étrangère.
- Je suis un étranger ici.
- Je suis une étrangère ici.
Le malheur des fourmis fait le rire des éléphants.
Je suis toujours un étranger ici.
Je ne peux pas bien dormir dans un lit qui n'est pas le mien.
est juste aller et promouvoir le produit de quelqu'un d'autre.
Vous pourriez juste aller trouver le produit de quelqu'un d'autre,
que vous atterrissez sur une planète étrangère,
D'après ce qu'on dit, son père serait mort à l'étranger.
Je suis tout seul dans ce pays étranger.
pourquoi ne pas simplement promouvoir le produit de quelqu'un d'autre?
Selon le chamanisme, les vieux Turcs sont entrés dans une forêt étrangère
- À Rome, fais comme les Romains.
- À Rome comme chez les Romains.
Se taire en classe, c'est respecter le sommeil des autres.
Égoïsme. Se plaindre de celui des autres, et ne pas s'apercevoir du sien.
Quand tu es à Rome, comporte-toi comme un Romain.
mon ami ne peut pas entrer dans la science avec l'hypothèse de quelqu'un d'autre
Je suis un étranger, ici.
Je suis entré dans la chambre de quelqu'un d'autre par inadvertance.
Il vaut mieux avoir sa propre chemise qu'une pleine valise étrangère.
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Mêle-toi de tes propres affaires !
- Ne mets pas ton nez dans les affaires des autres !
- Occupe-toi de tes affaires !
- Occupe-toi de tes oignons !
- Mêlez-vous de vos affaires.
- Mêle-toi de tes propres affaires !
- Ne fourre pas le nez dans un vase étranger.
- Occupe-toi de ton métier et ne te mêle pas d'un autre.
- Ne mets pas le nez dans un récipient étranger.
- Mêle-toi de ce qui te regarde.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.