Translation of "Tremer" in French

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Examples of using "Tremer" in a sentence and their french translations:

Eu senti a casa tremer.

J'ai senti la maison bouger.

O chão começou a tremer.

- Le sol s'est mis à trembler.
- La terre s'est mise à trembler.

A casa começou a tremer.

La maison commença à trembler.

Você não está sentindo a casa tremer?

Tu ne sens pas la maison trembler ?

Sentindo a casa tremer, eu corri para fora.

Sentant la maison bouger, je suis sorti dehors en courant.

- Estou tremendo de medo.
- Estou a tremer de medo.

Je tremble de peur.

Assim que sentiu sua casa tremer, ele saiu correndo para o jardim.

Aussitôt qu'il sentit sa maison trembler, il se précipita dans le jardin.

Grupos do Whatsapp Grupos de rostos e Twitter começaram a tremer com isso

Groupes Whatsapp Les groupes Face et Twitter ont commencé à trembler avec cela

Faz-me tremer terrível calafrio / e de pavor nas veias gela-se-me o sangue.

Un froid mortel saisit mon cœur épouvanté ; / je tressaille d'horreur.

"Agora, morre.” Assim dizendo, arrasta / até o altar o ancião, que a tremer escorrega / num mar de sangue de seu filho; agarra-o / pelos cabelos com a mão esquerda / e brande com a direita a espada coruscante, / até aos copos enterrando-lha no peito.

" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.

Mal terminava, eis de repente tudo em volta / sinto tremer – umbrais, o bosque de loureiros / do deus, o monte inteiro – qual em curso / um terremoto, e no santuário, agora aberto, / ouço gemer a trípode febeia. / Humildes prosternamo-nos e ouvimos / uma voz que nos diz:

Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :

Não sei que infausto nume então me faz / tremer e perder todo o entendimento, / pois enquanto a correr busco estreitas travessas, / desviando-me das ruas principais, / pobre de mim, Creúsa, minha esposa, / desaparece: eu nunca soube se detida / por fatal ocorrência, por cansaço, / ou por se ter perdido no caminho.

À ces mots, qui doublent mes alarmes, / je ne sais quel délire égara mes esprits ; / mais, tandis qu'éperdu, tremblant d'être surpris, / aux lieux les moins frayés je confiais ma fuite, / ma chère épouse, hélas ! que je crois à ma suite... / Sort cruel ! est-ce toi qui nous en séparas ? / Le chemin, trop pénible, arrêta-t-il ses pas ? / Ou dans ces noirs sentiers s'est-elle enfin perdue ? / Je ne sais.