Examples of using "Porto" in a sentence and their french translations:
Où se trouve le port ?
Le navire a jeté l'ancre dans le port.
Le bateau est au port.
Il y a beaucoup de bateaux dans le port.
et célébré par le personnel du port
Le bateau est maintenant au port.
Le bateau se dirige vers le port.
Notre bateau approchait du port.
- Porto Alegre est une ville superbe.
- Porto Alegre est une belle ville.
Pouvez-vous m'indiquer le chemin du port ?
- Montre-moi où se trouve Porto Rico sur la carte.
- Montre-moi où Porto Rico se trouve sur la carte.
- Montre-moi où Porto Rico se situe sur la carte.
- Montrez-moi où Porto Rico se trouve sur la carte.
- Montrez-moi où Porto Rico se situe sur la carte.
Le Brésil a joué contre la France à Porto Alegre.
Comme Porto Rico est une colonie étasunienne, le chef de l'État de Porto Rico est le Président des USA, mais les habitants de Porto Rico n'ont pas le droit de voter aux élections présidentielles étasuniennes.
Le vieux port ne suffit plus aux navires modernes.
Braga prie, Porto travaille, Coimbra étudie et Lisbonne s'amuse.
Le bateau est en sécurité dans le port. Mais ce n'est pas pour cela que les bateaux ont été construits.
Là, nos vaisseaux lassés trouvent un sûr asile : / nous entrons ; d'Apollon nous saluons la ville.
Ensuite, prenant le large pour se garantir des écueils de Scylla et de Carybde, il relâche à un port de Sicile situé près du mont Etna.
Un désir curieux de mon âme s'empare ; / je brûle d'admirer un destin si bizarre, / de voir, d'entretenir le successeur d'Hector.
Dans un golfe enfoncé, sur de sauvages bords, / s'ouvre un port naturel, défendu par une île, / dont les bras étendus, brisant l'onde indocile, / au fond de ce bassin, par deux accès divers, / ouvrent un long passage aux flots bruyants des mers.
Les rocs phéaciens ont fui dans les nuages. / De l'Épire déjà nous côtoyons les bords ; / la ville de Chaon nous reçoit dans ses ports ; / et, de loin dominant sur la plaine profonde, / Buthrote a réparé les fatigues de l'onde.
Il dit. Un air plus frais favorise nos vœux. / On entrevoit le port ; et, voisin de la nue, / le temple de Pallas se découvre à la vue.
Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.
Là, pour les dieux s'élève un auguste édifice; / là, viendra l'innocence invoquer la justice ; / contre les flots grondants et les vents orageux / le commerce a ses ports ; le théâtre a ses jeux, / et déjà, de la scène ornements magnifiques, / les marbres africains sont taillés en portiques.
Nous partons : nous voyons la riche Oléaros, / Naxos chère à Bacchus, et la blanche Paros, / Donyse aux verts bosquets, tant d'îles renommées / qui sur les vastes mers en cercle sont semées.
" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "
L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.
En face, un antre frais, sous des rochers pendants, / fait jaillir une eau douce en ruisseaux abondants ; / autour règnent des bancs taillés par la nature. / La naïade se plaît sous cette grotte obscure, / qui présente à la fois un antre aux matelots, / une eau pure à la soif, un asile au repos; / et, sans qu'un fer mordant par son poids les arrête, / les vaisseaux protégés y bravent la tempête.
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "