Examples of using "Dirige" in a sentence and their french translations:
Tom conduit.
- Tu conduis.
- Toi, conduis !
- Vous conduisez.
Betty conduit rapidement.
Barrichello conduit rapidement.
- C'est un bon conducteur.
- Il est bon conducteur.
Il conduit vite.
Tom conduit lentement.
Ma femme conduit mal.
Il conduit très vite.
Mon épouse est mauvaise conductrice.
Il conduit une Ferrari.
Conduisez avec la plus grande prudence.
Il roule sans permis.
Jack ne conduit pas rapidement.
Barrichello conduit rapidement.
Tom conduit prudemment.
Elle conduit très bien.
- Et ton fils, il conduit, lui ?
- Et est-ce que ton fils conduit ?
Mon grand-père ne conduit plus.
- Mon père conduit très bien.
- Mon père conduit fort bien.
Elle conduit une voiture importée.
Le chauffeur conduit trop vite.
Ma femme conduit mal.
- Est-ce que tu sais conduire ?
- Pouvez-vous conduire une voiture ?
- Sais-tu conduire ?
- Savez-vous conduire ?
- Et ton fils, il conduit, lui ?
- Et est-ce que ton fils conduit ?
Personne ne m'adresse la parole.
Tom conduit.
Tom conduit trop vite.
Betty conduit rapidement.
Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas.
Tom conduit toujours trop vite.
- Conduis prudemment.
- Conduis avec prudence.
Le bateau se dirige vers le port.
- Quelle sorte de voiture conduisez-vous ?
- Quelle sorte de voiture conduis-tu ?
Ne lui parlez pas pendant qu'il conduit.
- Ils roulent à gauche en Angleterre.
- On roule à gauche en Angleterre.
- Et ton fils, il conduit, lui ?
- Et est-ce que ton fils conduit ?
Il n'est pas d'homme raisonnable qui prenne le volant après avoir bu.
Tom ne conduit pas aussi prudemment que moi.
Mon père conduit une très vieille voiture.
Ne lui parlez pas pendant qu'il conduit.
Ce train se dirige vers New-York.
Par crainte d'un accident, mon père ne conduit pas.
Sois prudente en conduisant ou tu auras des problèmes.
Je ne sais pas quel genre de voiture conduit Tom.
- Ma mère a son permis de conduire, mais elle ne conduit pas.
- Ma mère a le permis mais ne conduit pas.
Ma mère a son permis de conduire, mais elle ne conduit pas.
Il ne conduit pas très vite quand il est avec sa famille.
Il conduit une camionnette.
- Vous conduisez quelle voiture ?
- Tu conduis quelle voiture ?
Et quand ils disent à la personne qui dirige cette entreprise.
Boule de Suif s'adresse aux personnages les plus proches d'elle.
Il dit : et vers Carthage il avance à grands pas.
Si vous parlez à un homme dans un langage qu'il comprend, ça lui entre dans le crâne. Si vous lui parlez dans sa langue, ça lui va au cœur.
Son esprit des humains roulait la destinée, / lorsque Vénus, sa fille, et la mère d'Énée, / gémissante, et de pleurs inondant ses beaux yeux :
À quoi ça sert que tu aies une voiture, vu que tu ne conduis pas ?
Sa présence imprévue a frappé tous les yeux. / " Celui que vous cherchez, dont la faveur des dieux / a conservé les jours, le voici. "
Énée s’occupe d’abord de fournir aux premiers besoins de ses compagnons ; il va à la chasse, et tue plusiers cerfs qu’il leur distribue ; il leur adresse ensuite quelques encouragements.
Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.
Il se rend d'abord dans une presqu'ile de la Thrace, où régnait Polymnestor, ancien ami et allié des Troyens, et gendre de Priam qui lui avait confié le plus jeune de ses enfants, nommé Polydore, avec une partie de ses trésors.
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "