Examples of using "Navios" in a sentence and their french translations:
Il y a beaucoup de bateaux dans le port.
armures et leurs boucliers, sur leurs navires.
les navires ne peuvent pas résister à ce courant
Bien que les bateaux fussent chargés, ils naviguèrent relativement rapidement.
à une hauteur que les navires ne peuvent dépasser
Le vieux port ne suffit plus aux navires modernes.
Les deux bateaux sombrèrent immédiatement.
Les casques brillent, je n'ai pas le mien, maintenant notre équipement repose avec les navires.
Il a dit qu'il pourrait faire des ponts, des fusils, des navires, des sculptures en marbre et en argile pour le duc.
Selon la saga, les Norvégiens sont arrivés à bord de 400 navires et les survivants sont rentrés chez eux en
Le bateau est en sécurité dans le port. Mais ce n'est pas pour cela que les bateaux ont été construits.
" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "
Les divinités de la mer viennent elles-mêmes au secours des vaisseaux troyens, dont une partie a été dispersée par l’orage : il n’en aborde que sept en Afrique.
Par le fougueux autan rapidement poussés, / contre de vastes rocs trois vaisseaux son lancés.
D'autres gagnent la mer, et d'une course agile / volent à leurs vaisseaux demander un asile, / ou vers l'affreux cheval courent épouvantés, / et rentrent dans les flancs qui les avaient portés.
Il ne les quitte pas, dans leur retraite sombre, / qu'au nombre des vaisseaux il n'égale leur nombre. / Puis il retourne au port, partage son butin.
" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "
Énée, après avoir équipé une flotte de vingt vaisseaux construits du bois du mont Ida, près de la ville d'Antandre, s'embarque avec les compagnons de sa fuite, et va chercher quelque pays où il puisse établir une colonie.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
Il y fait joindre encor le sceptre qu'Ilione / reçut du vieux Priam, et sa riche couronne, / qui réunit à l'or l'éclat du diamant ; / enfin, de son collier le superbe ornement, / ces trésors arrondis, ces perles que l'aurore / de l'onde orientale autrefois vit éclore : / il veut ; et son ami court, docile à sa loi, / remplir les vœux d'un père, et les ordres d'un roi.
Du fond de leurs vaisseaux ils tirent le froment / à demi corrompu par l'humide élément. / De Cérès aussitôt le trésor se déploie ; / le feu sèche leurs grains, et la pierre les broie : / le banquet se prépare ; on partage aux vaisseaux / ces aliments sauvés de la fureur des eaux.
" Scylla, qui, dérobant ses roches dangereuses, / appelle au loin, du sein de ses grottes affreuses, / les vaisseaux que la vague y pousse en mugissant. "
Le bord fuit : devant nous s'étend la mer profonde ; / tout à coup la tempête, apportant la terreur, / sur l'onde au loin répand sa ténébreuse horreur.
Mais pour son fils absent tendrement agité, / le héros veut le voir ; il veut qu'en diligence / Achate, secondant sa tendre impatience, / coure chercher Ascagne, et ramène à ses yeux / de l'espoir des Troyens ce gage précieux.
Les Tritons, à sa voix, s'efforcent d'arracher / les vaisseaux suspendus aux pointes du rocher ; / et lui-même, étendant son sceptre secourable, / les soulève, leur ouvre un chemin dans le sable, / calme les airs, sur l'onde établit le repos, / et de son char léger rase, en volant, les flots.
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
" Et nous, nous, vos enfants, attendus dans les cieux, / privés de nos vaisseaux par les vents furieux, / victimes du dépit d'une fière déesse, / sa main du Latium nous écarte sans cesse ! / Grand dieu ! de notre encens est-ce donc là le prix ? "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "