Examples of using "Espada" in a sentence and their french translations:
Je n'ai pas d'épée.
Je veux une épée comme celle-ci !
Je veux une épée !
Je suis dépourvu d'épée.
C'est une belle épée.
Ils l'ont tué avec une épée.
Je veux une épée comme celle-ci !
Mon épée est ma vie.
Je n'ai pas d'épée.
Cette épée a une étrange histoire.
lui donne son épée pour prêter allégeance.
La plume est plus forte que l'épée.
- Il est pris entre deux feux.
- Il a le choix entre la peste et le choléra.
Al-Mutanabbi mourut avec son épée à la main.
encore une fois, ils enseignaient comment utiliser un bouclier épée
Lieutenant, ma patience est plus courte que mon épée.
Hardrada se jeta au cœur du combat, sans armure, brandissant son épée à
Si les actions sont plus forts que les mots, pourquoi la plume est-elle plus forte que l'épée ?
Il dit, donne l'exemple, et sur son bras guerrier / d'Androgée expirant charge le bouclier, / saisit de ce héros l'épée étincelante, / de son casque embelli d'une aigrette flottante / pare son front superbe.
Au cou, il portait une triple chaîne d'or et sous le bras gauche, sur le poitrail, une courte épée dans un fourreau précieux.
" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "
Sur eux, le fer en main, nous fondons avec joie, / et nos dieux sont admis à cette riche proie. / Une table, dressée au bord courbé des mers, / se couvre de ces mets par le hasard offerts.
" Venons-nous, violant les droits sacrés des hommes, / porter ici le fer et le feu destructeur ? / Non : tant d'audace, hélas ! ne sied pas au malheur. "
À ces mots, je saisis, sans espoir de défense, / d'un bras mon bouclier, et de l'autre ma lance. / Je sortais en fureur de ce séjour de deuil, / quand mon épouse en pleurs m'arrête sur le seuil, / embrasse mes genoux, éperdue et tremblante, / me présente mon fils, et, d'une voix touchante:
" Vous, à qui votre sort impose d'autres lois, / mes enfants, saluez ces misérables restes. / Je saurai, de ma main, trancher ces jours funestes ; / ou l'ennemi lui-même, une fois plus humain, / daignera par pitié terminer mon destin. / Qu'importe, après ma mort, où l'on jette ma cendre ? "
" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
Les Espagnols, avec leurs chevaux, leurs épées et leurs lances, commencèrent à se livrer à d'étranges atrocités ; ils entrèrent dans les villages, les bourgs et les villages n'épargnant ni les enfants, ni les aînés, ni les femmes enceintes et parturientes ; ils leur ouvrirent les entrailles, les taillèrent en morceaux tels des agneaux emprisonnés dans leurs enclos. Ils firent des paris sur qui, d'un seul coup d'épée, trancherait et ouvrirait un homme en deux, ou qui, d'un seul coup, lui couperait la tête, ou même sur qui, d'un seul coup, ouvrirait mieux les entrailles d'un homme.