Examples of using "America" in a sentence and their french translations:
Il retourna aux États-Unis.
Elle retourne en Amérique.
Je suis né en Amérique.
- Es-tu déjà allé en Amérique ?
- Êtes-vous déjà allé en Amérique ?
Je dus me rendre en Amérique.
- Il veut aller aux États-Unis d'Amérique.
- Il veut aller en Amérique.
- Il veut se rendre en Amérique.
Je vais en Amérique demain.
- Son cousin vit aux États-Unis d'Amérique.
- Son cousin vit en Amérique.
Je vais aller en Amérique l'année prochaine.
Ira-t-elle en Amérique l'an prochain ?
Je ne suis jamais allé en Amérique.
Ensuite, je suis venu aux États-Unis.
suivie par l'Amérique du Nord.
Elle est née en Amérique.
Je suis né en Amérique.
Il est né aux États-Unis.
Votre femme est encore en Amérique ?
Il alla en Amérique étudier la médecine.
Un jour, je voudrais aller en Amérique.
Il n'a jamais été en Amérique.
Elle a décidé d'étudier en Amérique.
Il est parti en Amérique la semaine dernière.
en Nouvelle Zélande, en Angleterre, et en Amérique,
Kaoru est allé en Amérique.
Es-tu déjà allé en Amérique ?
Je vais en Amérique en avion.
Son cousin vit en Amérique.
Ils devinrent amis aux États-Unis.
Je veux séjourner en Amérique pendant quelques années.
Ils sont allés en Amérique le mois dernier.
Je voudrais prolonger mon séjour en Amérique.
J'avais l'intention d'étudier la médecine aux États-Unis.
- Quelle langue parle-t-on en Amérique ?
- Quelle est la langue parlée aux États-Unis ?
Il est clair qu'il va en Amérique.
Quelles langues parle-t-on en Amérique ?
Sa sœur ne va pas en Amérique.
Il alla en Amérique pour étudier l'anglais.
Votre femme est encore en Amérique ?
Elle était en Amérique le mois dernier.
En Amérique, les gens parlent anglais.
se développe dans les zones industrielles d'Amérique du Nord,
Spécifiquement, je rencontre beaucoup d'indiens d'Amérique Centrale
exemple le cerisier à floraison tardive d'Amérique du Nord.
Il existe différentes origines en Amérique du Nord
Un voyage en Amérique est hors de question.
- Son souhait était d'aller en Amérique.
- Son souhait était d'aller aux États-Unis d'Amérique.
Il y a un grand nombre d'incendies de forêts en Amérique.
L'Australie est plus petite que l'Amérique du Sud.
Il y a une bibliothèque dans chaque ville étatsunienne.
On trouve ce genre de cladium partout en Amérique centrale.
Pendant ce temps aux États-Unis, à Concord, au Massachusetts,
L'industrie japonaise exporte une production variée vers l'Amérique.
Aux États-Unis de nombreux criminels sont dépendants à la drogue.
Tom voulait passer le reste de sa vie en Amérique.
Quand j'habitais aux États-Unis, je jouais au golf avec mes amis.
sur le racisme systémique aux États-Unis et sur les politiques publiques.
Le grand sapin côtier d'Amérique du Nord, l'Abies grandis.
Son désir est d'aller en Amérique.
Fuyant les persécutions religieuses, les pèlerins se rendirent en Amérique.
- Quelle est la montagne la plus élevée en Amérique du Nord ?
- Quelle montagne est la plus haute d'Amérique du Nord ?
Mon fils est parti en Amérique pour étudier la médecine.
Les parents de Tom vivent en Amérique du Sud.
- Pourquoi est-ce qu'on appelle l'automne "fall" aux États-Unis ?
- Pourquoi l'automne s'appelle "fall" aux États-Unis ?
En Amérique, les gens jouent à différentes versions du Mahjong.
ou de mon premier rendez-vous avec un garçon américain
Une année, j'ai recruté un gardien de Colombie.
Les intérêts japonais et américains ont divergé sur ce point.
Aujourd'hui, aux États-Unis, une fois un brevet octroyé,
Les bénéfices iront à des œuvres caritatives dans deux orphelinats d'Amérique du Sud.
et aux États-Unis, en consommer 20 litres uniquement paraît tout aussi insensé.
Neuf ans plus tard, quand je suis partie étudier aux États-Unis,
Aujourd'hui, un enfant sur trois aux U.S.A. naît par césarienne,
la messe du dimanche est « l'heure la plus ségréguée » d'Amérique.
L'Australie est plus petite que l'Amérique du Sud.
Parmi les nombreuses espèces de singes en Amérique du Sud, seuls les singes-chouettes vivent la nuit.
En Europe et aux États-Unis, ils considèrent le chien comme un membre de la famille.
Mon père, qui travaille actuellement en Amérique, nous a envoyé une lettre la semaine dernière.
C'est assez courant en Amérique du Nord qu'une maison ait un garage pour une ou deux voitures.
- Aux États-Unis, tout le monde est d'opinion que personne ne lui est supérieur socialement, puisque tous les hommes sont égaux, mais il n'admettra pas que personne ne lui est inférieur.
- En Amérique, chacun est de l'opinion que personne ne lui est socialement supérieur, puisque tous les hommes sont égaux, mais il n'admet pas qu'il n'a pas d'inférieurs.
Cela aura été long à venir ; mais ce soir, à cause de ce qu'il a fait ce jour, dans cette élection, à ce moment décisif, le changement est advenu en Amérique.
L'Amérique, nous avons fait tant de chemin. Nous avons tant vu. Mais il y a tant qui reste à faire. Alors, ce soir, que nous nous demandions, si nos enfants vivaient jusqu'au prochain siècle, si mes filles ont la grande chance de vivre aussi longtemps qu'Ann Nixon Cooper, quels changements verront-elles ? Quels progrès aurons-nous fait ?
Il va de soi que les gens ne veulent pas de la guerre. Pourquoi un pauvre bon à rien dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre lorsque le mieux qu'il peut en retirer est de revenir dans sa ferme en un seul morceau ? Naturellement, les gens du commun ne veulent pas de la guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, pas non plus en Allemagne, en l'occurrence, ça va de soi.
En Europe, l'on chérit, généralement, ses vieux parents ; — en certaines tribus de l'Amérique on les persuade de monter sur un arbre ; puis on secoue cet arbre. S'ils tombent, le devoir sacré de tout bon fils est, comme autrefois chez les Messéniens, de les assommer sur-le-champ à grands coups de tomahawk, pour leur épargner les soucis de la décrépitude. S'ils trouvent la force de se cramponner à quelque branche, c'est qu'alors ils sont encore bons à la chasse ou à la pêche, et alors on sursoit à leur immolation.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.