Examples of using "Täten" in a sentence and their french translations:
Que ferions-nous sans vous ?
Que ferions-nous sans toi ?
Nous ferions mieux de sortir d'ici !
Que feriez-vous donc à la place de Tom ?
Que se passerait-il si ce n'était pas le cas ?
Nous ferions mieux de la laisser seule.
Tom et Marie ont dit qu'ils aimaient faire ça.
Si nous faisions une chose pareille, nous serions punis.
Tom voudrait vous y voir.
Imaginez que vous le fassiez dans tous les domaines de votre vie :
Que feraient-ils sans nous ?
Cela me surprendrait que Tom et Mary ne le fassent pas.
- Qu'est-ce que tu ferais si tu gagnais dix millions d'euros au loto ?
- Qu'est-ce que vous feriez si vous gagniez dix millions d'euros au loto ?
Tu ne crois pas qu'on ferait mieux de lui dire la vérité ?
- Feriez-vous cela à nouveau ?
- Le referiez-vous ?
- Le referais-tu ?
Vous feriez mieux d'entrer.
- Que feriez-vous sans moi ?
- Que ferais-tu sans moi ?
- Nous ferions mieux de le dire aux autres.
- Nous ferions mieux d'en faire part aux autres.
Et que feriez-vous si votre enfant était comme ça ?
- Que feriez-vous dans une telle situation ?
- Qu'est-ce que tu ferais dans une situation pareille ?
Vous feriez mieux de vous détendre un peu.
- Tu ferais mieux de me donner de l'argent.
- Vous feriez mieux de me donner de l'argent.
- On ferait mieux de sortir d'ici !
- Nous ferions mieux de sortir d'ici !
Vous feriez mieux de ne pas le prendre à la légère.
Que ferais-tu si la fin du monde arrivait demain ?
Que ferais-tu si la guerre éclatait ?
- Tu ferais mieux de faire examiner tes yeux.
- Vous devriez faire examiner vos yeux.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.