Translation of "Maux" in Portuguese

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Examples of using "Maux" in a sentence and their portuguese translations:

Je souffre de maux d'estomac.

Eu tenho dor de estômago.

J'ai des maux de tête.

Estou com uma forte dor de cabeça.

J'ai eu d'intenses maux de tête.

Havia um dor intensa em minha cabeça.

Il souffrait de maux de tête.

Ele estava sofrendo de uma terrível dor de cabeça.

L'argent est la racine de tous les maux.

O dinheiro é a raiz de todos os males.

À raconter ses maux souvent on les soulage.

Ao relatar nossos males, não raro os suavizamos.

L'amour de l'argent est la racine de tous les maux.

O amor ao dinhero é a raiz de todos os males.

A tous maux il est deux remèdes : le temps et le silence.

Para todos os males, há dois remédios: o tempo e o silêncio.

La douleur se situe ici, n'est-ce pas ? Ce sont des maux d'estomac.

A dor está aqui, não é certo? Essa é uma dor de barriga.

- Je ne supporte pas ce mal de ventre.
- Je ne peux pas supporter ces maux d'estomac.

Eu não aguento esta dor de estômago.

- J'ai mal à la tête.
- J'ai un terrible mal de crâne.
- J'ai des maux de tête.

- Estou com uma forte dor de cabeça.
- Estou com muita dor de cabeça.

Une collection de pensées devrait être comme une pharmacie où l'on trouve des remèdes à tous les maux.

Uma coleção de pensamentos deve ser uma farmácia na qual se encontra remédio para todos os males.

- Y a-t-il des astuces de grand-mère pour soulager les maux de tête ?
- Y a-t-il des remèdes de grand-mère contre les maux de tête ?
- Y a-t-il un remède maison contre le mal de tête ?

Tem algum remédio caseiro para dor de cabeça?

- Il a mal à la tête.
- Il souffre de maux de tête.
- Il a mal au crâne.
- Il a un mal de tête.

- Ele está com dor de cabeça.
- Ele tem dor de cabeça.

Quand je songe à tous les maux que j'ai vus et que j'ai soufferts, provenant des haines nationales, je me dis que tout cela repose sur un grossier mensonge : l'amour de la Patrie.

Quando penso sobre todos os males que vi e que sofri, oriundos dos ódios das nações, digo a mim mesmo que tudo isto baseia-se numa mentira descarada: amor à pátria.

" C'est nous qui, compagnons de périls, de travaux, / suivîmes ton exil, partageâmes tes maux ; / c'est nous qui, terminant ta course vagabonde, / à ta race immortelle asservirons le monde. / Ose donc mériter ta future splendeur. "

"Nós, que depois do abrasamento de Dardânia, / vimos seguindo a ti e aos teus guerreiros; / nós, que na frota que comandas percorremos / o proceloso mar, elevaremos, / nós mesmos, para a glória os teus futuros / descendentes, e império universal / outorgaremos à cidade tua e deles. / Apta sede constrói para o soberbo reino; / não desanimes ante os empecilhos / que encontrares ao longo da jornada."

Pour animer la joie, il ajoute au festin / un doux nectar mûri par un soleil fertile, / qu'au départ leur donna le bon roi de Sicile. / Déjà leurs maux cédaient à la douce liqueur ; / il y joint ce discours, plus puissant sur leur cœur:

Distribui / o vinho que em barris o bom Acestes / lhes ofertara – mimo régio – quando estavam / para zarpar da costa da Sicília; / e os merencórios corações mitiga / com as seguintes palavras:

" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "

"A soberana é Dido, proveniente / da cidade de Tiro, de onde o irmão / fê-la fugir. Longa seria a narração, / com pormenores, da injustiça cometida / contra ela, mas da história vou fazer / um resumo dos fatos principais".

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"

" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "

"Além do mais, se alguma ciência tem Heleno, / se neste vate crês, se de verdades / o coração me inunda Apolo, quero dar-te, / filho de Vênus, um conselho, que entre todos / é sem dúvida o mais considerável / e não me cansarei de repetir: / seja o primeiro objeto do teu culto, / de Juno excelsa a divindade; com desvelo / dirige-lhe teus votos e conquista / com súplicas e dons a poderosa deusa, / e quando, finalmente, a tiveres propícia, / deixarás a Trinácria e irás à Itália."

- « Mes amis, compagnons de route de vieilles mésaventures, vous qui avez subi les épreuves les plus sévères, vous verrez que le ciel mettra fin aussi à celles-ci. »
- " Compagnons, leur dit-il, relevez vos courages ; / l'âme se fortifie au milieu des orages. / Ce n'est pas d'aujourd'hui que commencent vos maux ; / vous avez éprouvé de plus rudes assauts : / ceux-ci, n'en doutez point, s'apaiseront de même. "

“Meus amigos, / companheiros de antigas desventuras, / vós, que mais graves provações já suportastes, / vereis que o céu acabará também com estas".

" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "

"E se por vós for profanada essa oferenda / à deusa destinada, um terrível desastre / (que os céus façam cair sobre o vidente o agouro!) / aguarda Príamo e o troiano império; / mas, se vós mesmos na cidade a introduzirdes, / então com grande exército a Ásia em peso / contra o Peloponeso há de marchar, diz Calcas, / levando a perdição aos nossos descendentes.”

" Si le Tibre jamais me reçoit dans ses ports, / si ces murs tant promis s'élèvent sur ses bords, / unis par la naissance, unis par l'infortune, / nos maux seront communs, notre gloire commune. / Oui, nos peuples, heureux d'une longue union, / ne feront qu'un seul peuple et qu'un seul Ilion ; / et des fils d'Ausonie et des enfants d'Épire / même sang, même amour réuniront l'empire. / Puisse un esprit semblable animer nos neveux ! "

"Se algum dia eu sulcar águas do Tibre / e arar campos por onde o Tibre corre; / se me for dado ver erguida a fortaleza / que lá estaria reservada á minha raça, / essas cidades, que serão de mesma origem, / essas nações irmãs, uma no Epiro / e outra na Hespéria, ambas de Dárdano provindo / e partilhando históricos eventos, / irão se unir, formando uma só pátria, / duas Troias, assim, transformando-se em uma. / Que de cumpri-lo os nossos pósteros se incumbam!”

" Que de grâces / ne vous devons-nous pas, ô vous que nos disgrâces / ont seule intéressée ! En proie à tant de maux, / triste jouet des Grecs, de la terre et des eaux, / lorsque nous n'avons plus dans notre sort horrible / qu'un souvenir affreux, qu'un avenir terrible, / c'est vous dont les bontés à vos sujets chéris / daignent associer de malheureux proscrits ! / Et comment acquitter notre reconnaissance ? / Tous en ont le désir, mais aucun la puissance. / Tous les Troyens épars dans l'univers entier / ne pourraient de vos soins dignement vous payer. "

"Ó bondosa rainha, / só tu te compadeces das desgraças / indizíveis de Troia, e humanamente acolhes, / nesta cidade e em teu palácio, a nós, / remanescentes do furor dos gregos, / esgotados por todas as desditas / que na terra e no mar nos atingiram, / despojados de tudo. Ó Dido, nós não vemos / como condignamente agradecer-te, / nem que contássemos com todos os dardânios / por este imenso globo dispersados".

De la reine des nuits la course vagabonde, / et les feux éclipsés du grand astre du monde, / le pouvoir qui, créant l'homme et les animaux, / leur versa de la vie et les biens et les maux, / les orages, les feux, le char glacé de l'Ourse, / et les astres gémeaux qui conduisent sa course, / l'Hyade et ses torrents ; dit pourquoi des hivers / les jours si promptement se plongent dans les mers ; / d'où vient des nuits d'été la lenteur paresseuse. / Enfin, sur mille tons sa voix mélodieuse / chantait l'ordre des cieux et des astres divers ; / et sa noble harmonie imitait leurs concerts.

Canta as fases da Lua, os eclipses do Sol; / da raça humana a origem, de animais, / dos raios e da chuva; canta Arcturo, / as Híades imbríferas e as duas / Ursas; diz a razão de o sol de inverno / ter pressa de imergir nas águas do oceano, / e a de a noite estival chegar tão tarde.