Translation of "Crainte" in Portuguese

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Examples of using "Crainte" in a sentence and their portuguese translations:

- Ne crains rien.
- Ne craignez rien.
- N'aie crainte.
- N'ayez crainte.
- N'aie aucune crainte.
- N'ayez aucune crainte.

- Não temas nada.
- Não tenha receio.

N'ayez crainte.

Não tenha receio.

N'aie aucune crainte.

Não tenha medo de nada.

- Quelle est votre plus grande crainte ?
- Quelle est ta plus grande crainte ?

Qual é o seu maior medo?

- Quelle est votre plus grosse crainte ?
- Quelle est ta plus grosse crainte ?

Qual é o seu maior medo?

Ces gens sans aucune crainte

Aquelas pessoas sem medo

Nous n'avons aucune crainte d'être médiocres.

Não temos medo de ser medíocres.

- N'aie pas peur.
- N'ayez pas peur.
- N'aie crainte.

- Não tenha medo.
- Não fique com medo.
- Não temas.
- Não tenham medo.
- Não tema!

Par crainte d'un accident, mon père ne conduit pas.

Meu pai não dirige por medo de acidentes.

- La seule chose que nous devons craindre est la crainte-même.
- La seule chose que nous devons craindre est la crainte elle-même.
- La seule chose à craindre, c'est la crainte elle-même.

A única coisa que devemos temer é o próprio medo.

Tandis que vous pouvez marcher sans crainte sur des chemins déserts

Enquanto você pode caminhar por caminhos desertos sem medo

Sans renoncer à la mesure, sans crainte, mais sans sous-estimer

Sem desistir da medida, sem medo, mas sem subestimar

La seule chose que nous devons craindre est la crainte elle-même,

de que a única coisa que devemos temer é o próprio medo,

Que ce soit par crainte ou par fierté, il ne répondit pas.

Seja por medo ou por orgulho, ele não respondeu.

Il inspirait comme une crainte mystique ; on croyait qu’il parlait, la nuit, à des fantômes.

Ele inspirava um certo temor místico; acreditava-se que ele falava com fantasmas à noite.

N'ayez crainte de la vie. Croyez qu'elle vaut la peine d'être vécue et votre foi aidera à créer le fait.

Não tenhas medo da vida. Crê que a vida merece ser vivida, e tua crença ajudará a criar o fato.

Jacob répondit, et dit à Laban : J’avais de la crainte à la pensée que tu m’enlèverais peut-être tes filles.

Jacó respondeu a Labão: É que tive medo, pois pensei que tirarias tuas filhas de mim à força.

Pour son fils malheureux pleine d'un tendre effroi, / cette ville suspecte et ce peuple sans foi, / Junon surtout, Junon, qu'un fier courroux dévore, / tout l'alarme, et la nuit sa crainte veille encore.

Teme a corte volúvel, teme os tírios / com sua falsidade proverbial; / dia e noite consome-se em pensar / que a cruel Juno é protetora da cidade.

Didon, les yeux baissés, à leur touchante plainte / répond en peu de mots : " Bannissez toute crainte ; / de mes naissants états l'impérieux besoin / me force à ces rigueurs : ma prudence a pris soin / d'entourer de soldats mes nombreuses frontières. "

Dido reflete um pouco, de olhos baixos, / e então breve e concisa assim responde: / “Bani do coração, troianos, vosso medo, / do pensamento afastai toda inquietação. / O perigo que ronda um reino em formação, / como este, é que me impõe a adoção de medidas / assim tão rigorosas de defesa / nas guarnições de todas as fronteiras".

Il s'approche, il observe : ô comble de la joie ! / Ce sont ses compagnons que le ciel lui renvoie : / c'était Sergeste, Anthée, échappés du trépas. / Il brûle de courir, de voler dans leurs bras ; / mais la crainte retient sa vive impatience.

Estupefatos ficam ele e Acates, / tomados de alegria e temor a um só tempo; / estão ardendo do desejo de apertar-lhes / a mão, mas lhes perturba o espírito o mistério / que envolve essa chegada.

Le repas achevé, tous, par de longs discours, / de leurs amis perdus redemandent les jours ; / leurs cœurs sont partagés par l'espoir et la crainte : / sont-ils vivants encore ? ou bien, sourds à leur plainte, / sont-ils déjà couverts des ombres de la mort ?

Já satisfeita a fome e do banquete / retiradas as mesas, em conversas / intermináveis, com saudade eles recordam / os parceiros perdidos na tormenta, / entre a esperança e o medo se indagando / se ainda estarão vivos ou se já, / sofrida a crise extrema, não escutem / as vozes dos que os chamem pelos nomes.

" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "

"Dido, aterrorizada, logo cuida / de arranjar companheiros para a fuga, / juntando ao seu redor os que tinham mais medo / ou mais ódio do déspota insensível. / De barcos prestes a zarpar se apossam / e, carregando-os de ouro, mar afora / vão levando as riquezas cobiçadas / de Pigmalião: da empresa à frente está a mulher!"