Translation of "Coule" in Portuguese

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Examples of using "Coule" in a sentence and their portuguese translations:

- J'ai le nez qui coule.
- Mon nez coule.

- Meu nariz está escorrendo.
- O meu nariz está escorrendo.

Ton nez coule.

- Seu nariz está pingando.
- Seu nariz está escorrendo.
- Teu nariz está escorrendo.
- O seu nariz está escorrendo.

Mon nez coule.

- Meu nariz está pingando.
- Meu nariz está escorrendo.

Le robinet coule.

A torneira está pingando.

Ton nez coule !

- Seu nariz está escorrendo!
- Seu nariz está pingando!

Le bateau coule.

O barco está afundando.

La bateau coule.

O barco está afundando.

- Tiens, un mouchoir. Ton nez coule.
- Prends un mouchoir, ton nez coule !

Pegue um lenço; seu nariz está escorrendo.

J'ai le nez qui coule.

- Meu nariz está escorrendo.
- O meu nariz está escorrendo.

« La langue française a un style qui coule. » « Oui, qui coule comme la diarrhée. »

"A língua francesa tem um estilo que flui." "Sim, que flui como diarreia."

- Le bois flotte, mais le fer coule au fond.
- Le bois flotte, mais le fer coule.

Madeira flutua, mas ferro afunda.

Cette île ne coule pas dans l'eau

esta ilha não afunda na água

Le bois flotte, mais le fer coule.

Madeira flutua, mas ferro afunda.

Le miel ne coule pas du ciel.

- Dinheiro não cai do céu.
- Não goteja mel do céu.

La rivière coule doucement vers la mer.

O rio flui suavemente em direção ao mar.

- Évidemment.
- Pour sûr.
- Évidemment !
- Cela coule de source.

- Evidentemente.
- Óbvio.

Chaque fois que j'ai un rhume, mon nez coule.

Meu nariz sempre escorre quando estou resfriado.

J'ai mal à la gorge et le nez qui coule.

Eu estou com dor de garganta e com o nariz escorrendo.

Souffleur pense à un texte en verre qui coule sur le verre

prompter pensar em um texto de vidro está fluindo sobre o vidro

Hawai est vraiment le pays où coule le lait et le miel.

O Havaí é realmente a terra do leite e do mel.

ça coule et ça se lit bien dans les phrases quand les gens sont

de que isso flui bem nas frases quando as pessoas estiverem

- Évidemment.
- Naturellement.
- Évidemment !
- Cela coule de source.
- Cela va de soi!
- Ça va de soi !

Naturalmente.

- La Seine passe au travers de Paris.
- La Seine coule à travers Paris.
- La Seine traverse Paris.

O Sena atravessa Paris.

- Bien sûr.
- Évidemment.
- Pour sûr.
- Naturellement.
- Cela coule de source.
- Cela va de soi!
- Ça va de soi !

- É claro.
- Com certeza.
- Claramente.

- Le fleuve qui traverse Paris se nomme la Seine.
- Le fleuve traversant Paris se nomme la Seine.
- Le fleuve qui traverse Paris s'appelle la Seine.
- La rivière qui coule à travers Paris est la Seine.

- O rio que corre por Paris é o Sena.
- O rio que atravessa Paris é o Sena.
- O rio que atravessa Paris se chama "Sena".

Celui qui donne un coup de pied à la colonne, qui se trouve sur le pont, qui passe sur la rivière, qui coule dans le village, dans lequel demeure l'homme, qui possède le collier, qui détient des pouvoirs magiques qui réalisent des miracles, va mourir.

Aquele que dá um chute na coluna que segura a ponte, que passa sobre o riacho, que percorre a vila, a qual reside o homem que possui o colar, que lhe concede os poderes mágicos que realizam milagres, vai morrer.

Elle dit : le nectar coule en l'honneur des dieux. / Didon au même instant de ses lèvres l'effleure ; / Bitias le reçoit ; on l'excite, et, sur l'heure / s'abreuvant à longs traits du nectar écumant, / la coupe aux larges bords est vide en un moment. / Le vase d'or circule, avec lui l'allégresse.

Sobre a mesa ela verte as primícias do vinho, / e tendo feito, assim, a libação dos deuses, / só com a ponta dos lábios toca a borda / da taça, que em seguida entrega a Bítias, / irônica exortando-o a beber; / sem perder um segundo ele mergulha / na pátera espumante o rosto e sorve / sofregamente o conteúdo até enxergar / o ouro no fundo; os outros próceres completam / a rodada.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”