Translation of "Allume" in Portuguese

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Examples of using "Allume" in a sentence and their portuguese translations:

Allume la radio.

Ligue o rádio.

Allume les phares !

Acenda as luzes.

- Allume les bougies !
- Allumez les bougies !
- Allume les cierges !
- Allumez les cierges !

Acenda as velas.

- Allume le cierge !
- Allumez le cierge !
- Allume la bougie !
- Allumez la bougie !

Acende a vela.

- Allume la télévision s'il te plaît.
- Allume la télé s'il te plait.

- Por favor, ligue a TV.
- Ligue a televisão por favor.
- Por favor, ligue a televisão.

Bon, on allume le feu.

Vamos lá acender a fogueira.

Allume la télévision s'il te plaît.

Por favor, ligue a TV.

Allume la lumière, s'il te plaît.

Acenda a luz, por favor.

- Allume la télé.
- Allumez la télé.

Ligue a TV.

Allume la climatisation, je te prie.

- Por favor, ligue o ar-condicionado.
- Por favor, liguem o ar-condicionado.

Marie allume des bougies dans sa chambre.

Mary acende as velas em seu quarto.

Allume la lumière. Je n'y vois rien.

Acenda a luz. Eu não consigo ver nada.

- S’il te plaît, allume la radio.
- Veuillez allumer la radio.
- Allume la radio, je te prie !
- Allumez la radio, je vous prie !

- Por favor ligue o rádio.
- Ligue o rádio, por favor.

- Allume la lumière s'il te plaît.
- Merci d'allumer la lumière.

Acenda a luz, por favor.

La haine allume des querelles, l'amour couvre toutes les offenses.

- O ódio provoca dissensão, mas o amor cobre todos os pecados.
- O ódio provoca querelas, o amor cobre todas as ofensas.

Elle allume son micro et fait entendre sa voix chez les autres

ela liga o microfone e faz sua voz ser ouvida em outras pessoas

- Allume une bougie, je te prie !
- Allumez un cierge, je vous prie !

Por favor, acenda uma vela.

- S’il te plaît, allume la radio.
- Mets la radio, je te prie.
- Veuillez mettre la radio.

Por favor ligue o rádio.

Tel un affreux serpent, qui, nourri de poison, / sous la terre dormait dans la froide saison, / tout à coup reparaît, rayonnant de jeunesse, / s'étale avec orgueil, se roule, se redresse, / darde un triple aiguillon, et de son corps vermeil / allume les couleurs aux rayons du soleil.

Qual a serpente que de plantas venenosas / empachada passou todo o inverno enterrada / e agora volta à luz do dia em nova pele, / e, rejuvenescida, as lisas roscas / desenrola, a cabeça erguendo ao sol, / enquanto a língua trífida dardeja.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.