Translation of "Air" in Portuguese

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Examples of using "Air" in a sentence and their portuguese translations:

Sans air, nous mourrions.

Sem ar, morreríamos.

Vivre sans air est impossible.

É impossível viver sem ar.

L'Homme ne pourrait vivre sans air.

As pessoas não podem viver sem ar.

Sans air, rien ne pourrait vivre.

Sem ar, nada poderia viver.

- Nous passâmes la journée en plein air.
- Nous avons passé la journée au grand air.

Passamos o dia ao ar livre.

Ne jamais explorer une mine sans air !

Nunca se entra numa mina sem circulação de ar!

"Air" et "Heir" sont homophones entre eux.

"Air" e "heir" são homófonos.

Nous ne pouvons pas vivre sans air.

Não podemos viver sem o ar.

Je voudrais une chambre avec air conditionné.

Eu gostaria de um quarto com ar condicionado.

Le rugby est un jeu de plein air.

O rúgbi é um jogo ao ar livre.

Nous ne pouvons vivre sans air ni eau.

Não podemos viver sem ar e água.

L'Italie est un grand musée en plein air.

- A Itália é um grande museu a céu aberto.
- A Itália é um grande museu ao ar livre.

Elle pointa son doigt vers lui d'un air accusateur.

Ela apontou o dedo para ele acusatoriamente.

Jugeant par leur air, ils sont un couple heureux.

A julgar pela aparência, eles são um casal feliz.

- Plus une ville est grande, plus sale deviennent son air et son eau.
- Plus une ville grandit, plus son air et son eau deviennent sales.

Quanto maior uma cidade fica, mais o ar e a água ficam sujos.

La vérité c'est que les humains ne peuvent pas vivre sans air.

A verdade é que nós humanos não podemos viver sem ar.

De nos jours les gens ne savent plus vivre sans air-conditionné.

As pessoas não conseguem mais viver sem ar-condicionado nos dias de hoje.

Je connais cet air mais je n'arrive pas à me rappeler des paroles.

Eu conheço a melodia, mas não consigo me lembrar da letra.

- Je veux lui ressembler.
- Je veux paraître comme elle.
- Je veux avoir le même air qu'elle.

Eu quero me parecer com ela.

- Cette voiture ne semble-t-elle pas familière ?
- Cette voiture n'a-t-elle pas un air familier ?

Aquele carro não parece familiar?

Il se balada à travers le parc en sifflant un air qu'il avait appris dans sa jeunesse.

Ele caminhou pelo parque, assobiando uma melodia que aprendera na sua juventude.

Qui m'a mis au monde, qui a engendré un misérable comme moi, pour errer ainsi, toujours en plein air, sous le ciel bleu ?

Quem me terá trazido ao mundo, quem terá gerado alguém tão infeliz quanto eu, que a vagar mundo afora passo a vida, tendo por teto só o céu azul?

Il dit. Un air plus frais favorise nos vœux. / On entrevoit le port ; et, voisin de la nue, / le temple de Pallas se découvre à la vue.

Intensificam-se as bem-vindas brisas; / estreita-se a distância e já se alarga / de um porto a entrada, enquanto vai crescendo / no promontório o templo de Minerva.

À ces mots, souriant à la belle Cypris, / avec cet air serein qui calme la tempête, / vers elle doucement il incline la tête, / sur sa bouche de rose effleure un doux baiser, / et par ces mots flatteurs se plaît à l'apaiser :

Sorrindo, o genitor dos homens e dos numes, / daquele jeito que serena os ares / tormentosos, de leve toca os lábios / da filha, com um beijo, e assim lhe fala:

Enfin, dans les replis de ce couple sanglant, / qui déchire son sein, qui dévore son flanc, / il expire... Aussitôt l'un et l'autre reptile / s'éloigne ; et, de Pallas gagnant l'auguste asile, / aux pieds de la déesse, et sous son bouclier, / d'un air tranquille et fier va se réfugier.

Agora os dois dragões serpeando fogem / para a parte mais alta do santuário / da severa Minerva, e aos pés da imagem, / sob o redondo escudo, se enrodilham.

Voilà qu'au fond d'un bois se présente sa mère ; / son air, son vêtement, sa démarche légère, / d'une vierge de Sparte offre tous les dehors ; / ou telle, au pied d'Hémus, l'Hèbre voit sur ses bords / l'Amazone, animant les coursiers qu'elle dresse, / voler, et de ses flots devancer la vitesse.

No meio da floresta se depara / com sua mãe: dir-se-ia pelos traços, / pela maneira de vestir e até / pelas armas que traz, uma jovem de Esparta; / ou, pela forma como cansa a montaria, / a trácia Harpálice, vencendo na carreira / o Hebro veloz.

Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "

A ele então, / humilde, Juno roga nestes termos: / “Ó Éolo (pois a ti o pai dos deuses / e rei dos homens deu a faculdade / de as ondas amansar e de encrespá-las / com o auxílio do vento), uma gente que odeio / no momento navega o mar Tirreno, / levando para a Itália Ílio vencida / e seus penates".

La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.

Já todos os navios se encontravam / na praia em seco; a juventude já tratara / de arranjar casamento e cultivava os campos; / eu definia normas de conduta / e locais onde surgiriam novas casas, / quando uma peste repentina assoladora, / de causar dó, pelo ar mefítico trazida, / homens e plantas e searas contamina, / ceifando vidas e esperanças de colheita.

Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "

Assim Vênus falou; e logo o filho: / “Não vi ninguém, de tuas irmãs nenhuma / sequer ouvi, ó... como irei chamar-te? / Donzela? Teu semblante nada tem / de uma simples mortal, nem timbre humano / tem a tua voz, ó deusa – pois divina / deves ser. Não serás a irmã de Apolo, / ou do sangue das ninfas tu nasceste?"

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”