Translation of "Patrie" in English

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Examples of using "Patrie" in a sentence and their english translations:

J'aime ma patrie.

- I love my motherland.
- I love the Fatherland.
- I love the fatherland.
- I love my homeland.
- I love the old country.

En matière de patrie

When it comes to homeland

Sa patrie est l'Allemagne.

She comes from Germany.

- Les travailleurs n'ont pas de patrie.
- Les ouvriers n'ont pas de patrie.

- The workers do not have a fatherland.
- The workers have no country.

Ma patrie est le monde.

My country is the world.

Ma patrie, c'est le monde entier.

My country is the whole world.

La Norvège est ma nouvelle patrie.

Norway is my new homeland.

Thomas est mort pour la patrie.

Tom died for his country.

La France est ma seconde patrie.

France is my second country.

Le monde entier est ma patrie.

- The whole world is my homeland.
- The whole world is my fatherland.

Ils ont combattu pour leur mère patrie.

- They fought for the sake of their country.
- They fought for their home country.
- They fight for their country.

La patrie ou la mort, nous vaincrons.

Fatherland or death, we shall overcome.

Il est difficile de quitter sa patrie.

It is difficult to leave one's homeland.

La Russie est la patrie des éléphants.

Russia is the homeland of the elephants.

Ma famille et ma patrie me manquent.

I miss my family and my country.

Nous sommes prêts à défendre la patrie.

We are ready to defend the country.

Les grands artistes n'ont pas de patrie.

Great artists have no country.

- Il est doux et noble de mourir pour la patrie.
- Il est doux et honorable de mourir pour la patrie.

- It is sweet and right to die for your homeland.
- It is sweet and noble to die for one's country.
- Sweet and fitting it is to die for your country.

- Ma patrie me manque.
- J'ai le mal du pays.

I feel homesick.

Il est doux et noble de mourir pour la patrie.

It is sweet and noble to die for one's country.

Il est doux et honorable de mourir pour la patrie.

It is sweet and honorable to die for the fatherland.

On croit mourir pour la patrie; on meurt pour les industriels.

You think you are dying for your country; you die for the industrialists.

J'ai très envie de revoir ma mère-patrie seulement pour un instant.

How I long for a sight of my native land!

L'influence arabe se manifeste dans la musique et l'architecture de cette patrie.

Moorish influence is evident in the music and architecture of this land.

- Marie est morte pour la patrie.
- Marie est morte pour son pays.

Mary died for her country.

C'est dans l'amour de son foyer que l'amour de sa patrie prend sa source.

The spirit of patriotism has its source in the love of the family.

Son odieux aspect réveille ma furie ; / je brûle par sa mort de venger ma patrie.

Then, fired with passion and revenge, I burn / to quit Troy's downfall and exact the fee / such crimes deserve.

Les idées n'ont pas véritablement de patrie sur terre, elles flottent dans l'air entre les peuples.

Ideas don't really have a home on the ground, they float in the air between people.

On n'habite pas un pays, on habite une langue. Une patrie, c'est cela et rien d'autre.

- We don't inhabit a country but a language. A country is a language and nothing else.
- You don't live in a country; you live in a language. Your homeland, that's that and nothing else.
- We don't live in countries, we live in our languages. That is your home, there and nowhere else.

En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.

- Turning over such things in her inflamed heart, the goddess came to the country of storm-clouds, Aeolia, breeding place of the raging winds.
- Such thoughts revolving in her fiery mind, / straightway the Goddess to AEolia passed, / the storm-clouds' birthplace, big with blustering wind.

- Le mot patrie est tellement dévoyé qu'on peut à peine en dire quelque chose de normal ou de sérieux.
- Le mot patrie est tellement mésusé qu'on peut à peine en dire quelque chose de normal ou de sérieux.

The word homeland is so misused that one has trouble saying anything normal or serious about it.

Oh, dites-moi, est-ce que la bannière étoilée flotte encore sur la terre de la liberté et la patrie des braves ?

Oh, say does that star-spangled banner yet wave o'er the land of the free and the home of the brave?

Que le bonheur et la paix échoient à notre patrie allemande. Le monde entier aspire à la paix. Aux peuples, tendez la main !

Happiness and peace be granted to Germany, our fatherland. All the world longs for peace; reach your hand out to the peoples.

" Mais qui pouvait si loin attendre une patrie ? / Et qui croyait Cassandre en ces temps malheureux ? / Cédons aux lois du sort, obéissons aux dieux. "

"Ah! who listened or obeyed? / Who dreamed that Teucrians should Hesperia gain? / Yield we to Phoebus now, nor wisdom's words disdain."

O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.

O native land! O Ilion, now betrayed! / Blest home of deities, in war renowned! / Four times beside the very gate 'twas stayed; / four times within the womb the armour clashed and brayed.

Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.

Far off there lies, with many a spacious plain, / the land of Mars, by Thracians tilled and sown, / where stern Lycurgus whilom held his reign; / a hospitable shore, to Troy well-known, / her home-gods leagued in union with our own, / while Fortune smiled.

Ainsi parle Apollon. On tressaille, on s'écrie : / " Quels sont ces bords ? quelle est cette antique patrie / où le sort nous appelle, où le ciel pour toujours / de nos longues erreurs doit terminer le cours ? "

Straight rose a joyous uproar; each in turn / ask what the walls that Phoebus hath designed? / Which way to wander, whither to return?

" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "

"Then he, at length his show of fear laid by, / 'Great King, all truly will I own, whate'er / the issue, nor my Argive race deny. / This first; if fortune, spiteful and unfair, / hath made poor Sinon wretched, fortune ne'er / shall make me false or faithless.'"

" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "

"Queen Dido rules the land, who came from Tyre afar, / flying her brother. Dark the tale of crime, / and long, but briefly be the sum supplied."

Le foyer des oiseaux est dans la forêt, le foyer des poissons est dans la rivière, le foyer des abeilles est dans les fleurs, et celui des petits enfants est en Chine. Nous aimons notre mère patrie depuis notre enfance, comme les oiseaux aiment la forêt, les poissons aiment la rivière, et les abeilles aiment les fleurs.

The birds' home is in the forest, the fish's home is in the river, the bees' home is in the flowers, and the little children's is in China. We love our motherland from the time we're little, as the birds love the forest, the fish love the river, and the bees love the flowers.

Merci d'avoir compris le drame de ma patrie, qui comme le dirait Pablo Neruda est celui d’un Vietnam silencieux ; il n’y a pas de troupes d’occupation, ni d’avions puissants obscurcissant le ciel pur de ma terre. Mais nous affrontons un blocus économique, mais nous sommes privés de crédits, mais nous ne pouvons acheter de provisions, mais nous n'avons pas de quoi acheter des aliments et les médicaments nous manquent...

Thanks for understanding the drama of my homeland, which is, like Pablo Neruda would say, a silent Vietnam; there are no occupying troops, nor powerful planes clouding the clean skies of my land, but we're under financial blockade, we have no credit, we can't buy spare parts, we have no means to buy food and we need medicine...

À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.

On fly the barks o'er ocean. Near us frown / Ceraunia's rocks, whence shortest lies the way / to Italy. And now the sun gows down, / and darkness gathers on the mountains grey.

" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "

"Nor in my madness kept my purpose low, / but vowed, if e'er should happier chance invite, / and bring me home a conqueror, even so / my comrade's death with vengeance to requite. / My words aroused his wrath; thence evil's earliest blight. / Thenceforth Ulysses sought with slanderous tongue / to daunt me, scattering in the people's ear / dark hints, and looked for partners of his wrong; / nor rested, till with Calchas' aid, the seer..."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."