Examples of using "Prayer" in a sentence and their french translations:
Quelle est ta prière préférée ?
Dieu, entends ma prière.
La prière de Sami fut exaucée.
Quelle est ta prière préférée ?
- Qui vous a enseigné cette prière ?
- Qui t'a enseigné cette prière ?
- Qui est-ce qui vous a enseigné cette prière ?
Étonnamment, ma prière a été entendue.
C'est un peu tard pour prier.
Prions !
On peut entendre l'appel à la prière.
où je me suis agenouillé pour faire cette prière :
Quelle est la prière la plus puissante du monde ?
J'ai fait une prière et j'ai senti
tout en conservant la caractéristique de la salle de prière la plus ancienne
La prière est une façon de s'adresser à une divinité.
Et la télévision qui transmettait une prière à Beyoncé, enfant,
J'entends au loin le muezzin appelant les fidèles à la prière.
Khalid stabilisa son cheval, ferma les yeux et murmura une prière de gratitude.
Si vous êtes autorisé à sortir après la prière du soir, cela signifie
On tient Joachim pour quelqu'un qui a de la religion, alors qu'il sait à peine le Notre Père.
ceux qui veulent que leur prière soit acceptée respirent à nouveau dans ce domaine
Dans quelle mesure une prière serait-elle exécutée en brisant le cœur de millions de personnes?
la fatwa, où la prière ne peut pas être effectuée dans une copie est déjà un sujet de discussion.
Puis une heure avant midi, toute l'armée des croisés s'est agenouillée, Unis, dans une dernière prière.
En Algérie les ministres font une prière télévisée pour qu'il pleuve en période de sécheresse, mais ils ont tous des citernes chez eux.
" Ne crains ni Céléno, ni ses menaces vaines, / ni ces tables qu'un jour doit dévorer ta faim ; / le destin t'aidera ; compte sur le destin ; / compte sur la faveur d'Apollon qui m'inspire. "
Un lièvre s'arrêta dans les trèfles et les clochettes mouvantes et dit sa prière à l'arc-en-ciel à travers la toile de l'araignée.
Mon père, à cet aspect, se lève, et, plein de joie, / invoque et Jupiter et l'astre qu'il envoie.
Là, nos vaisseaux lassés trouvent un sûr asile : / nous entrons ; d'Apollon nous saluons la ville.
" Évite ce malheur. En vain de ton départ / les tiens impatients accusent le retard ; / en vain le vent t'appelle, en vain le temps te presse ; / toi-même va trouver, consulter la prêtresse ; / qu'elle-même te parle, et de ses rocs profonds / laisse échapper pour toi ses prophétiques sons, "
Quelle est la prière la plus puissante du monde ?
Là, les femmes de Troie, avançant lentement, / à Pallas apportaient un riche vêtement, / se meurtrissant le sein, humblement gémissantes ; / l'habit sacré brillait dans leurs mains suppliantes : / Pallas baissait les yeux, et repoussait leur don.
Ainsi dans son refus il demeure obstiné ; / vainement de nos pleurs il est environné ; / vainement mon épouse, et mon fils, et moi-même, / le conjurons, pour lui, pour ses enfants qu'il aime, / de ne pas achever de déchirer nos cœurs, / et de n'aggraver pas le poids de nos malheurs.
Mon père ordonne alors de repasser les flots, / d'aller interroger les trépieds de Délos, / d'apprendre dans quels lieux doivent finir nos peines, / nos travaux renaissants, nos courses incertaines.
Alors tout notre sang se glace dans nos veines, / alors nous abjurons nos espérances vaines. / Pour apaiser ce peuple, aux glaives impuissants / nous faisons succéder les prières, l'encens ; / soit qu'on adore en lui les déités des ondes, / soit qu'il n'offre à nos yeux que des oiseaux immondes.
En vouant ses dernières prières, avant de se décider à se laisser flotter et être dévoré, il vit un homme regarder par dessus le gaillard du brick : il leva les deux mains ; il s'agita au-dessus de la surface, et, par l'incongruité de ses mouvements, il attira heureusement l'attention.
Lorsque levant ses yeux par l'espoir animés, / tendant au ciel ses mains : " Jupiter ! dit mon père, / si les pleurs quelquefois désarment ta colère, / lis dans nos cœurs, hélas ! et, s'ils sont vertueux, / confirme, par pitié, ces présages heureux ! "
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
Énée, à cet aspect, frissonne d'épouvante. / Levant au ciel ses yeux et sa voix suppliante : / " Heureux, trois fois heureux, ô vous qui, sous nos tours, / aux yeux de vos parents, terminâtes vos jours ! "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "