Examples of using "Foe" in a sentence and their french translations:
Es-tu un ami ou un ennemi ?
Par exemple, Apple a une tonne d'iPhones, non?
Prête à ton ami, modère ton ennemi !
Si nous nous unissons fraternellement, nous vaincrons l'ennemi du peuple.
L'univers n'est ni hostile, ni ami. Il est simplement indifférent.
car c'était le seul moyen pour distinguer un ami d'un ennemi.
être un ennemi inférieur, ou si Firouz a donné le ordre pour une attaque exploratoire,
Les deux avaient longtemps été considérés comme des ennemis, mais ils avaient maintenant un ennemi commun: Philippe.
" Quoique leur ennemi, Teucer vantait leur gloire ; / il se disait issu de leurs antiques rois ; / surtout, je m'en souviens, il vantait vos exploits. "
L'homme est pour l'homme un ennemi plus dangereux que les forces de la nature ou les bêtes sauvages.
" Jupiter même aux Grecs souffle un feu belliqueux, / excite les mortels, et soulève les dieux. "
" Pour les armes des Grecs dépouillons-nous des nôtres ; / dans les pressants dangers l'artifice est permis. / Qu'importe qu'on triomphe ou par force ou par ruse ? / Eux-mêmes ont trompé, leur fourbe est notre excuse. "
Mais en vain il veut fuir : sur sa troupe tremblante / les armes à la main nous fondons en fureur ; / l'ignorance des lieux, leur ténébreuse horreur, / la surprise, l'effroi, tout enfin nous les livre.
Je m'éloigne, et Cypris / défend au glaive, au feu, d'attenter à son fils : / le fer respectueux tombe à sa voix puissante ; / devant elle s'enfuit la flamme obéissante.
" Vous voyez cet Énée adorateur des dieux, / connu par ses exploits, connu par ses désastres ; / mon nom, trop glorieux, a volé jusqu'aux astres. / Emportant les débris et les dieux des Troyens, / avec eux je cherchais les bords ausoniens. "
Les Troyens cependant veulent vendre leurs jours ; / d'un dernier désespoir misérable secours ! / De leurs toits démolis, de leurs tours embrasées, / ils combattent des Grecs les troupes écrasées, / roulent ces lambris d'or, ces riches ornements, / de leurs antiques rois augustes monuments.
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
" Le peuple partagé s'échauffe en longs débats, / quand, de la citadelle arrivant à grands pas, / Laocoon, qu'entoure une foule nombreuse, / de loin s'écrie: 'O Troie ! ô ville malheureuse ! / citoyens insensés, dit-il, que faites-vous ? / Croyez-vous qu'en effet les Grecs soient loin de nous, / que même leurs présents soient exempts d'artifice ? / Ignorez-vous leur fourbe ? Ignorez-vous Ulysse ? ' "
Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.